Et au boulot ?

Excellent! Et a mon avis ca marque plus que la baffe dans la tronche!

Quand j'étais etudiante je bossais comme agent d'accueil ds un cinéma. c'est pareil un opérateur passait son temps à me mettre la main au panier (non non pas celui en osier avec les glaces et les pop corns! l'autre!). Un jour je lui ai dit que c'était la dernière fois qu'il faisait ça, sinon il allait le regretter...; U peu plus tard, ds le hall du cinéma à deux pas de la caisse bondée de clients, alors que je revenais de salles avec mon panier de confiserie, au passage il m'a mis fait un petit clin d'oeil qui m'a fait rager. Je resors du local et sers des pop corns à une dame (vous savez les vieux chariots ou les pop corns virvoltent) et il passe derrière moi, et zou!! Oh! p...in...! Je me retourne d'un coup et direct mon pied dans les c...
Faut s'imaginer que :
1 - j'étais en tailleur rodier et talons
2 - j'avais une boite de pop corns ds une main, la pelle pour servir dans l'autre
3- Que le hall était plein
Lui, il s'est plié en deux d'un coup, dans un gémissement animal, moi ça a fait un gros crac car la doublure de ma jupe a pété...
Y eu une consternation générale, un silence de mort...
Et trés calmement j'ai dit bien fort "Je t'avais prévenu... d'arrêter de me mettre la main au panier! J'espere que cette fois tu as compris"
Et là, hilarité générale des spectateurs et plein de nanas sont venues me féliciter...
Je crois que par procuration, ce jour là elles se sont vengées de tous les vicelards qu'elles avaient rencontrés!
Plus jamais ce type ne m'a approchée...

bin remarque , ils savent ce qui les attends !!! pas folles les guepes !!
désolée, mais je braille de rire en imaginant la scène

si j'ai cinq minutes , je vous raconterai une autre histoire tres croustillante qui nous est arrivé sur la "route" avec ma mie, pas piquée des vers !! on a vu de ces trucs, je vais peut être ouvrir un topic bien sur

orlane a écrit:

bin genre, on te tripote le cul, tu fais quoi ??

Ca m'arrive fréquement au boulot, mais par des collègues fémines ne connaissant pas ma vie privée... Strange, non ?!!!

C'est hallucinant aussi l'attitude des nanas (hétéro sois disant à 200 %...)envers toi une fois que tu leur dis que t'es homo...
Ca branchouille sec, style "j't'entrais bien une expèrience homo" en te regardant dans les yeux avec cinq personnes autours qui ne sont pas au courant, elles !!!

Ahhhh... Ces "hétéros"

Je n'ai pas encore de boulot (enfin j'en ai eu un cet été mais je suis partie où bout de 7 h parce que je ne supportais pas le patron )

Quand j'étais lycéenne en terminale je le disais sans trop de problème depuis que je suis étudiante c'est u npeu différent en prépa je ne parlais à personne sauf à une fille quant aux autres j'ai souvent eu la preuve qu'ils étaient des bourgeois de crétins finis...

Mais le 17 mai je me suis fait une joie de distribuer les tracts contre l'homophobie dans la classe de hk2 les réactions ont plutot été positives mais ce n'était pas vraiment un coming out en soi

Cettte année je monte une de mes pièces avec normalement des aides de la fac ...La pièce de théatre évoque on ne peut plus explicitement la thème de l'homosexualité féminine ( ça la fac ne le sait pas encore en fait lol) mais là encore ce 'nest pas un coming out

Mais avec des étudiants de toutes disciplines confondues(surtout lettres arts du scpéctavle histoire philo pour l'instant) on monte une association homo estudantine (parce qu'il n'y en a pas à Strasbourg)

Autrement dit, je ne cache pas du tout mon homosexualité mais en effet je n'ai aucun risque à la dévoiler

Après je ne sais pas quelle sera mon attitude dans le domaine professionnel (si un jour je travaille)

Véro a écrit:

Pour ma part je vais parler au passé ccar actuellement je suis limite étudiante et plutôt chomeuse... Donc non ce n'est pas sur ma fiche ANPE.. loll
En fait avant j'ai été prof et au début je ne suis pas arrivée en brandissant mon rainbow!
Mon homosexualité, je l’ai révélée à mon proviseur lors de la signature de mon contrat, notamment au moment de remplir la fiche familiale et histoire de mettre les choses au clair. A mes nouveaux collègues, je ne l’ai jamais cachée.
Ma compagne étant une femme, pour parler d’elle je n’ai jamais dit « il » et pour la nommer n’ai jamais utilisé de prénom masculin. Je n’ai pas laissé plané de doute non plus quant à son rôle dans ma vie.
Ma « particularité » n’a semblé poser problème à personne.

En ce qui concerne mes élèves, je ne me voyais pas me présenter en disant : « Bonjour, je suis Véronique L., votre nouvelle prof et je suis lesbienne ! ». Aux interclasses, j’éludais les questions des plus curieux sur le pourquoi du comment de mon alliance alors que j'étais officiellement mademoiselle… par une pirouette : « On peut être mariée dans son cœur et non à la mairie ! »

Dans mon établissement, les insultes homophobes se faisaient rares, mais elles existaient. J’y ai souvent mis terme par mon souhait de voir « PD » ou « Gouine » remplacés par « homosexuel(le) ». Il était d’ailleurs étonnant de constater la surprise des jeunes quand ils apprennaient que homosexuel peut se conjuguer au féminin…

Et puis un jour au cours d’une séance sur l’étude des personnages principaux et secondaires au cinéma… Au cours d’un cours qui ne se prêtait pas du tout à l’homosexualité, le sujet a dévié au détour de la description d’un des personnages du film « Héroïnes » de G. Krawczyk. Pour le personnage de Jasper, en lieu et place de son métier et de sa situation affective (ex : Johanna, chanteuse, jamais amoureuse, mais volage), j’entends juste une étiquette « Pédé », je rectifie « homosexuel », le marque au tableau.
Un élève lève la main m’interpellant « j’comprends pas M’dame, pourquoi on met ‘homosexuel’, dans ce cas là pour les autres, faut mettre ‘hétérosexuel’ ! » La remarque est pertinente, audacieuse, elle me frappe de plein fouet… et j’avoue, m’émeut ! En quelques mots, cet élève banalise l’homosexualité, lève les étiquettes, appelle à la tolérance… me bouleverse… L’élève ajoute « on met qu’il est ingénieur du son et qu’il est amoureux de Paolo ».
Je demande au reste de la classe ce qu’il en pense, et à ma grande surprise quelques élèves le suivent. Je prends acte.
On passe à la description. Et c’est là que ça s’enchaîne : la description… Une fois tracée sa silhouette, une fille dit « il a un look de pédé ». Je lui demande ce qu’est « un look de pédé » (il faut bien dire que mes compatriotes gays ont la réputation d’être des fashion victims, mais tous les homos ne sont pas des clones de Steevy non plus !). Et plusieurs de dire que c’est : T-Shirts moulant, pantalons moulant, etc…
Soit, je leur demande si Craig Davis et d’autres sur lesquels elles bavent d’envie sont homosexuels. Indignation !
Je leur demande de plus si elles ont déjà vu Bertrand Delanoë en T-Shirt et pantalon moulant. Hilarité générale.
Cours sur l’étiquetage à la va-vite !

Mais une élève, A., persiste : « il a quand même un look de tapiole ». Je bous intérieurement. Lui reprécise qu’homosexuel sied mieux à mes oreilles. Elle ajoute qu’elle n’a pas d’autre mot pour qualifier « ces gens là ». Calmement je lui demande de me reconfirmer qu'elle a un frère. Oui. Qu'il est plus jeune qu’elle. Oui. Et lui demande encore, s’il venait à lui annoncer son homosexualité, quelle serait sa réaction, si elle lui dirait : « Dégage tapiole, je ne te parle plus ». Elle confirme. Elle dit qu’elle ne peut pas « les » encaisser.
C’en est trop. Je la fixe en lui souriant, calmement, lui disant : « je suis désolée, je pense que je vais t’indisposer et que tu ne vas pas pouvoir suivre mon cours car je suis homosexuelle ». Consternation dans la classe. Les papotages stoppent l’espace de 30 secondes. L’élève me regarde sans paraître comprendre, risque un « vous déconnez, m’dame ? ». « Pas du tout ».
Je suis étonnamment calme et sereine. Je viens de balancer à mes élèves que je suis goudou et je me sens paisible…
Maintenant il y a ceux qui n’ont pas compris ou entendu, ceux qui ne sont pas sûrs d’avoir bien entendu… C’est un brouhaha terriblement bas en volume mais intense en pourcentage d'élèves concernés qui s’est installé.
La sonnerie a rententit c'est l'interclasse pause cigarette souvent tant attendue, et là personne ne bouge, malgré mon invitation à s'aérer... D'autant que moi, j'en ressens bien le besoin! quelques uns finissent par sortir. A. ne sort pas, elle semble tétanisée.
Je la fixe à nouveau : « Ca fait quatre mois qu’on se connaît maintenant… Tu m’appréciais jusqu’alors. Tu ne savais pas que j’étais homosexuelle. Tu le sais aujourd’hui. Cela va changer quelque chose ? ». Elle est très mal à l’aise. Je la comprends. Les autres la toisent, se moquent, la raillent. Je calme les esprits. L'élève qui avait souligné l'inutilité d'adjoindre homo à la description enfonce le clou : « C'est ça alors l'homophobie... A. est homophobe! » Je nuance : « L’homophobie est trop souvent liée à l’ignorance… on a toujours peur de ce qu’on ne connaît pas... »
Je me tourne à nouveau vers elle et la regarde en lui souriant pour la rassurer sur ma perception des termes employés. « Cela va changer quelque chose à l’image que tu avais de moi ? » Elle a les larmes aux yeux. Dans sa tête ça doit être la guerre ! « Non… ». Je la regarde toujours avec douceur. « Non, parce que ici je suis d’abord prof et c’est sous cette étiquette là que vous m’appréciez ou non… »
Le cours a repris dans le calme.

Le lendemain je faisais la Une du journal régional, concernant le refus de droit d’adoption pour les couples homosexuels par la Cour européene, j'avais donné mon ressenti. Le journal n’a jamais été tant lu au lycée.
C’était le jour de mon anniversaire, qui plus est. Alors après les « joyeux anniversaire » de toutes mes classes ce jour là, j’ai ouvert le cours par ces quelques mots. « Je suppose que vous avez vu le journal… » Les sourires et regards des élèves confirmaient. « Si vous avez des questions à me poser sur le sujet, c’est le jour ou jamais… » Un débat formidable sur l’homosexualité, l’homophobie, l’homoparentalité, et la tolérance en général s’est instauré dans chacune de mes classes. L’heure y est passée… Certains élèves sont même venus me féliciter de « mon courage » à parler si librement.
Aprés, j'ai bien senti que le regard de mes élèves sur moi avait un peu changé… mais croyez le ou non… ce ne fut qu’en positif !
J’ai pris un gros risque mais je ne le regrette pas un instant car ça n’a été source que de moments forts en émotion et quel bonheur de me dire que cette heure consacrée au sujet a peut-être fait évolué quelques mentalités… J'ai passé trois ans à enseigner dans cet établissement, des petites goudous sont venues me voir, elles m'ont demandé conseil pour les unes et remercié pour les autres d'avoir ouvert la bréche... Au fait, je ne vous ai pas dit, on était en milieu rural et dans un lycée agricole... Depuis plusieurs on fait leur coming-out : des élèves mais aussi des profs!
Bonheur renforcé par un chiffre : 80% des 18-25 ans considèrent l’homosexualité comme un mode de vie sans distinction de l’hétérosexualité… ouf ! Le bout du tunnel approche !

Vraiment, c'était génial, cette histoire, Véro...Tu as fait preuve de beaucoup de diplomatie avec cette fille, et pourtant, ça devait pas être évident...

Sinon, pour la Cour européenne des droits de l'homme qui refuse l'adoption pour les couples homos (quand je pense que Christine Boutin disait que le TCE était la porte ouverte pour le mariage gay...), comment se fait-il qu'elle n'a rien dit quand l'Espagne l'a accordé? Bon, je sais que le droit de la famille relève de la compétences des Etats, mais bon...

et au boulot???

ben pendant les pauses quand tout le monde jacasse et que chacun fait attention a ces "propres"questions existencielles...du style..."qu'est ce que je vais preparé a mon doudou ce soir?" ......"encore un plateau repas toute seule!!pfff") ..."et si je sortait me bourrer la gueuel pour oublié que je suis deprimé..?"
ok je m'eloigne
mais bon quand on me disait au debut "alors ce soir tu vois ton mec?"
je repondait "je rentre voir ma femme c'est mieux"..

c'est pas qu'au boulot c'est ce que je vis tout les jours...

exemple...."té pas avec un mec?"
"non ma copine travaille mais c'est gentil de t'en préoccuper merci"

tranquille...

t'assure miss!!

personnellement dans mon entreprise j'ai des amis homo, certains l'affiche d'autre pas!! les huimains ont souvent un fond mauvais et son trés médisant, d'ailleurs, il a été dit que j'étais homo car j'étais souvent avec mes amis!!!

j'ai adoré ce topic! j'ai vraiment pri bcp de plaisir à le lire, vos histoires sont fabuleuses! entre autre ily a cell de Véro ki m'a particulièrement touchée, bien ke je soi déjà en licence 3, j'ai encore l'impression d'avoir quitté le lycée hier et kel plaisir j'aurai eu d'avoir une prof comm toi!!! t'a du avoir plein d'élèves lesbienn ki sont tombées amoureuses de toi!lol je trouve ke C trè courageu et ce fu trè bien amené: pa LA gross révélation, mai juste banalement ds une conversation, c'est extra, si il y en avai + des comm toi, ça serai + banal d'etre homo

sinon je sui un peu ds le mem cas ke sweet jane: si tts mes amis d'annecy saven ke je sui homo, à la fac de chambéry, ben personn... C + compliké parce ke je me sen en confiance ke qd j'ai un copain gay à mes cotés et comm là bas j'en connai pa, ben pa de coming out! par contre t'a pa eu de bol jane pr ta prépa, ds la mienn y avai trè peu de ptit bourges coincés, C d'ailleurs l'année où j'ai fait le + de coming out !!lol

PS: j'ai adoré qd l'auteur du post fai référence à Bette ki appell Tina "Ma puce" dvt son boss! ça m'a trop fai rire qd j'ai vu ce passage!!

Achtungbaby a écrit:

j'ai adoré ce topic! j'ai vraiment pri bcp de plaisir à le lire, vos histoires sont fabuleuses! entre autre ily a cell de Véro ki m'a particulièrement touchée, bien ke je soi déjà en licence 3, j'ai encore l'impression d'avoir quitté le lycée hier et kel plaisir j'aurai eu d'avoir une prof comm toi!!! t'a du avoir plein d'élèves lesbienn ki sont tombées amoureuses de toi!lol je trouve ke C trè courageu et ce fu trè bien amené: pa LA gross révélation, mai juste banalement ds une conversation, c'est extra, si il y en avai + des comm toi, ça serai + banal d'etre homo

Oups j'avais pas vu ce vieux post loll...
Ben pour te répondre Achtung militant à cette époque dans une asso pronant la visibilité homo dans un milieu rural comme l'aisne, ça ne me posait pas plus de pb que ça. J'etais à un age où j'assumais bien. Et je me disais si moi avec toutes ces conditions là, je le fais pas... qui va le faire?!
Loll
Donc les choses étaient entendues dans ce bahut et ça n'a été que du positif de voir ensuite dans ce bahut à majorité de filles de voir les couples lesbiens se former sans crainte du regard des autres...
Mais je ne pense pas avoir brisé personnellement de coeurs, juste suscité des envies de pouvoir l'assumer comme moi et des envies de se rapprocher de moi pour d'y sentir rassurée...
J'ai toujours été en couple, qui plus est, et ça se savait, donc ça aurait découragé les volontaires... loll

moi j'ai pas de boulot alors

MrPissou a écrit:

moi j'ai pas de boulot alors

bah pareil....mais si j'en avais un, eh beh ils me prendraient telle quelle, j'ai passé trop de temps à végeter, si y en a un qui n'est pas d'accord dans l'entourage professionnel, je m'en f****..
je vais pas forcément le hurler sur les toits, mais si on me pose une question, j'y réponds..

Mes collégues sont au courant de ma "situation".
Je l'ai dit naturellement, quand on m'a demandé si j'avais un copain, j'ai dit "non, une copine" et elles ont été géniales.
Je l'avais pas dit à ma patronne pcq si elle acceptait pas, j'aurais été un peu mal à l'aise mais elle a été super, elle est venue me parler en me disant qu'il n'y a pas de problèmes et qu'elle a toujours vécu avec des colloc gays et qu'elle sortait dans le milieu assez souvent.
J'ai aussi une collègue qui est bi et elle me file les épisodes de The L-Word qu'elle enregistre sur canal

Bonjour tout le monde,

Bon... coutume oblige, je me présente : je suis une hétérote très gay friendly qui se pose des questions sur l'attitude d'une collègue homo.

Ne trouvant pas de réponse dans ma petite tête bien peu avisée de la chose , je me suis dit "pourquoi ne pas demander à des gays d'éclairer ma lanterne ?..."
Alors, j'ai navigué sur différents forums et au début, j'ai eu un peu peur.... puis, je suis tombée sur le vôtre et j'ai flashé.
Si vous avez toutes autant d'humour, je pense que j'ai fait le bon choix !


Voilà mon cas :
Je bosse dans une grosse boîte (on est presque 200) où l'homosexualité ne pose aucun problème. Ceux qui le sont ne s'en cachent pas et tout le monde s'en fout...d'ailleurs, une attitude homophobe et c'est dehors sans hésiter !
On participe même à la gay pride, sur un char, homos et hétéros confondus ! C'est dire, ma p'tite dame !...

Un jour, on était au resto entre collègues et d'autres "copains" de l'extérieur. Je mangeais à côté d'une collègue homo et comme elle était nouvelle, on parlait beaucoup ensemble.
La soirée se termine, tout le monde se dit aurevoir et on retourne à nos voitures.
Puis, les textos commencent à arriver sur mon portable...je les résume "t'es devenue homo, t'es avec elle ?..." !
Dois-je préciser que ces suppositions venaient des "copains" non habitués à fréquenter des homos comme je le fais tous les jours ?
Moi, je réponds que non et j'en rigole.
Et tout en roulant, j'appelle ma collègue et lui raconte l'histoire. Elle était très embêtée pour moi, je la rassure en lui disant que je m'en tape royalement et elle m'annonce qu'elle a une amie depuis des mois.

Les semaines passent, on se croise dans les couloirs et on en rigole encore en s'appelant "mon épouse adorée", "mon amour en sucre",... bref, tous les surnoms gognols qui nous passaient par la tête.

Mais depuis un certain temps, elle est ambigüe avec moi...
Vous me voyez venir avec mes gros sabots : heeeeeelpppppp, les filles !
J'ai besoin de vos lumières pour m'éclairer (autant que faire se peut) sur son comportement à mon égard.



Le voici en quelques lignes :

* elle me parle de son amie
* elle me demande un truc informatique pour chez elle et tél à son amie devant moi, lui dit des mots dous puis, me la passe pour que je lui redonne l'explic
* elle m'envoie parfois des messages à double sens
* puis... elle me reparle de son amie
* elle rompt avec elle et me colle, me touche les cheveux dans l'ascenceur
* elle renoue et... m'ignore
* elle me demande de passer dans son bureau et précise qu'elle y sera seule
* mais elle crève de trouille de passer dans le mien pour de vraies raisons professionnelles
* elle me prête des films et m'en demande
* puis, elle me dit qu'elle ne les a pas regardés mais que c'était pour sa copine
* il lui arrive de m'envoyer des textos "spéc" assez tard alors qu'elle est avec elle
* elle m'a laissé un petit mot "gentil" sur ma voiture alors qu'elle était avec sa copine sur le parking...
* elle me fait comprendre qu'elle préfère les blodes féminines (comme moi tiens !) aux autres styles de femmes
*...

help, les filles : qu'en pensez-vous ?

J'ai peur de lui dire que ça ne m'intéresse pas car si je me ttrompe sur son comportement, j'aurai vraiment l'air d'une grosse truffe et je risque de perdre une personne que j'apprécie au boulot.

Je sais que je devrais lui en parler car ça me gêne parfois mais elle a tendance à prendre la fuite devant les choses sérieuses.

A votre avis, elle m'approche ?

Merci Mag...

Je l'savais...
je l'savaiiiiis....

Ah, au fait, à mon avis... elle t'approche GRAVE !!!!!!!!!!!!!

Mag,

Merci pour ta réponse.
Il y a des trucs dans son comportement qui sont spécifiques à la drague homo ?

et ben...si c'est le cas, elle a de la suite dans les idées parce que ça fait un an que ca dure...

vous êtes toutes si patiences ????

;-)

OUI, c'est mon deuxième prénom

Même avis que Mag...... Comme je disais l'autre jour, y'a baleine sous gravier.

A votre avis, je devrais lui en parler ?