Tendresse « carapace »
A première vue, la tendresse ne semble pas être votre amie la plus proche. Vous ne vous sentez pas particulièrement doué(e) pour ce genre de « pratiques » , et jugez même parfois les gestes tendres comme une façon un peu bébête d’exprimer ses sentiments !
Lorsque l’on est tendre avec vous - ou que vous vous sentez l’être avec autrui - vous ne savez pas comment vous y prendre : vous vous sentez gauche et mal à l’aise… Vous préférez alors rester en retrait, stoïque, vous réfugiant dans un « tout ça c’est pour les faibles ! ».
C’est pourquoi on a plus tendance à vous considérer comme un(e) « dur(e) ». Mais probablement « faux dur(e) », car un(e) « dur(e) de dur(e) » n'aurait pas la curiosité de s’interroger sur sa propension à la tendresse par le biais d’un site sur la psychologie !
Il est fort à parier que dans votre éducation, les manifestations ouvertes de tendresse ne sont pas courantes. Si vous êtes un jeune homme, on vous a sans doute appris qu’un vrai mâle se doit d’être costaud, mais certainement pas tendre. Si vous êtes une jeune femme, on vous a peut-être poussé à réprimer vos sentiments en les assimilant à de la faiblesse. Rassurez-vous : tout ceci n’est pas vrai !
Alors, quand, au fond de vous, vous sentez poindre l’envie d’un geste ou d’un mot doux, comme ça, simplement, laissez faire en vous faisant confiance. Car soyez-en sûr(e) : plus on la laisse s’exprimer, et plus la tendresse s’éveille…