Qu'est-ce qui vous met en rage?

http://www.mood.fr/site/TestID=1262/462/default.aspx

Verdict:
Je suis pas assez bien.
La susceptibilité est liée chez vous à un sentiment d’imperfection et à un manque de confiance en vous.
Vous cherchez souvent à être parfait(e) et à apparaître aux yeux d’autrui comme un être génial. Du coup, vous vivez les remarques comme des preuves évidentes de votre imperfection. Si quelqu'un est en désaccord avec vous, ou bien se moque gentiment, vous avez l’impression que vous n’êtes plus faite que de défauts, de faiblesses et de lacunes. Vous vous sentez alors profondément blessé(e).
De plus, vous avez tendance à généraliser : si l’on vous dit " Ton devoir n’était pas terrible ", vous pensez automatiquement : " JE ne suis pas terrible ". Car votre petite faille réside dans le fait que votre image et votre confiance en vous dépendent totalement du regard des autres. Vous avez du mal à rester axé(e), sûr(e) de vous, en faisant abstraction de leur opinion sur vous. Et l'on note également chez vous une certaine aptitude à envier les autres qui, forcément, sont toujours mieux que vous !

Peut-être n’avez-vous pas été assez valorisé(e) étant petit enfant. Un frère, une sœur, ou bien un camarade de classe était-il sans cesse “devant” vous, montré comme l’excellent exemple à suivre ? Le susceptible en vous est ce petit enfant en quête de lui-même, de sa propre place et qui cherche désespérément dans le regard des autres l’amour absolu d’un parent idéal.

Trouvez ce parent encourageant et valorisant en vous-même et non plus en l’autre. Vous serez moins à l’affût de compliments et surtout beaucoup moins sensible aux éventuelles critiques que vous saurez alors accueillir à leur juste valeur.
Aussi, essayez de voir à qui, VOUS, vous en voulez. Et laissez exprimer ce que vous refoulez facilement et ruminez depuis longtemps, toutes ces choses qui entretiennent votre susceptibilité… Votre rapport aux autres, et notamment à leurs remarques, en sera bien plus léger !

ouais, ce qui me met en rage...c'est moi

Mdr j'ai encore le même résultat que Wiwi.

"Je suis pas assez bien.
La susceptibilité est liée chez vous à un sentiment d’imperfection et à un manque de confiance en vous.
Vous cherchez souvent à être parfait(e) et à apparaître aux yeux d’autrui comme un être génial. Du coup, vous vivez les remarques comme des preuves évidentes de votre imperfection. Si quelqu'un est en désaccord avec vous, ou bien se moque gentiment, vous avez l’impression que vous n’êtes plus faite que de défauts, de faiblesses et de lacunes. Vous vous sentez alors profondément blessé(e).
De plus, vous avez tendance à généraliser : si l’on vous dit " Ton devoir n’était pas terrible ", vous pensez automatiquement : " JE ne suis pas terrible ". Car votre petite faille réside dans le fait que votre image et votre confiance en vous dépendent totalement du regard des autres. Vous avez du mal à rester axé(e), sûr(e) de vous, en faisant abstraction de leur opinion sur vous. Et l'on note également chez vous une certaine aptitude à envier les autres qui, forcément, sont toujours mieux que vous !

Peut-être n’avez-vous pas été assez valorisé(e) étant petit enfant. Un frère, une sœur, ou bien un camarade de classe était-il sans cesse “devant” vous, montré comme l’excellent exemple à suivre ? Le susceptible en vous est ce petit enfant en quête de lui-même, de sa propre place et qui cherche désespérément dans le regard des autres l’amour absolu d’un parent idéal.

Trouvez ce parent encourageant et valorisant en vous-même et non plus en l’autre. Vous serez moins à l’affût de compliments et surtout beaucoup moins sensible aux éventuelles critiques que vous saurez alors accueillir à leur juste valeur.
Aussi, essayez de voir à qui, VOUS, vous en voulez. Et laissez exprimer ce que vous refoulez facilement et ruminez depuis longtemps, toutes ces choses qui entretiennent votre susceptibilité… Votre rapport aux autres, et notamment à leurs remarques, en sera bien plus léger !"

En tout cas, c'est plutôt vrai tout ça.

Lol moi ça donne ça et c'est plutot vrai :

Rien ne me vexe !
Chez vous, la susceptibilité se dissimule derrière une apparente indifférence.
En effet, l’ensemble des petites phrases qui peuvent vexer la plupart de vos congénères, semblent ne rien provoquer chez vous. Comme si aucune remarque, même un brin déplaisante, ne pouvait vous atteindre…Vous donnez l’impression de vous en moquer royalement.

Mais derrière cela se cachent souvent des stratégies habiles qui visent à ne pas laisser les sentiments liés à la susceptibilité se réveiller : vous essayez alors de vous boucher symboliquement les oreilles, mais plus rusé, vous cherchez systématiquement aux propos des autres – lorsqu’ils vous blessent - des excuses : " il ne pensait pas ce qu’il disait " ou encore " il est très stressé en ce moment "… Pratique, certes, mais toutes ces astuces efface pas la susceptibilité !
Vous semblez ne pas oser vous laisser réagir. Au fond de vous, il y a probablement une dose de colère et d’agressivité très forte que vous avez peur d’assumer face aux autres. Vous ne vous donnez pas le droit de répondre, de vous justifier… de vous affirmer en somme. Et cela, sans doute parce que vous avez longtemps “encaisser” sans jamais répliquer. Il y a ainsi en vous une partie très blessée qui réagit profondément à la moindre remarque, mais qui est étouffée par votre bouclier de banalisations.

Aussi, ne vous dissimulez plus. Apprenez peu à peu à trouver d’autres modes de réaction que la fuite : face aux vraies attaques, défendez-vous. Et face aux petites phrases qui chatouillent votre susceptibilité, pourquoi ne pas essayer l’humour ?

par contre y'a des choses avec lesquelles je ne suis pas d'accord moi j'assume ma colére et mon agressivite depuis que je fait du yoga mais il vaux mieux pas que je m'enerve sinon ça degénere trés vite et tout vole c'est pour ça que je les canalises mais bon il en faut vraiment des tonnes et des tonnes pour que j'en arrive la enfin on m'a tellement véxe plus jeune et j'ete tellement suceptible que maintenan plus rien ne me vexe

moi aussi
résultat: rien ne me vexe

Rien ne me vexe ! (Zen Forever...)
Chez vous, la susceptibilité se dissimule derrière une apparente indifférence. ( Pourquoi apparente?)
En effet, l’ensemble des petites phrases qui peuvent vexer la plupart de vos congénères, semblent ne rien provoquer chez vous. Comme si aucune remarque, même un brin déplaisante, ne pouvait vous atteindre…Vous donnez l’impression de vous en moquer royalement. (Ce n'est pas qu'une impression!)

Mais derrière cela se cachent souvent des stratégies habiles qui visent à ne pas laisser les sentiments liés à la susceptibilité se réveiller : vous essayez alors de vous boucher symboliquement les oreilles, mais plus rusé, vous cherchez systématiquement aux propos des autres – lorsqu’ils vous blessent - des excuses : " il ne pensait pas ce qu’il disait " ou encore " il est très stressé en ce moment "…(Ben non... je ne leur cherche pas d'excuses!)

Pratique, certes, mais toutes ces astuces efface pas la susceptibilité ! (Par contre les fautes d'orthographes...)

Vous semblez ne pas oser vous laisser réagir. Au fond de vous, il y a probablement une dose de colère et d’agressivité très forte que vous avez peur d’assumer face aux autres. (Bah je l'assume surtout quand cela vient de personnes qui m'indifférent... même des gens que j'aime!)

Vous ne vous donnez pas le droit de répondre, de vous justifier… de vous affirmer en somme. Et cela, sans doute parce que vous avez longtemps “encaisser” sans jamais répliquer. (Même pas mal! )

Il y a ainsi en vous une partie très blessée qui réagit profondément à la moindre remarque, mais qui est étouffée par votre bouclier de banalisations. (Pfff comment chercher midi à quatorze heure!)

Aussi, ne vous dissimulez plus. (Ah bon? Donc j'enlève ma cape d'invisibilité?)

Apprenez peu à peu à trouver d’autres modes de réaction que la fuite : face aux vraies attaques, défendez-vous.

Et face aux petites phrases qui chatouillent votre susceptibilité, pourquoi ne pas essayer l’humour ? (Bon l'humour je connais... et faut savoir une chose ma p'tite dame, c'est que l'humour est aussi une façon de fuir...)

Même pas vexée par le résultat de ce test d'abord!

pas mal la psychanalyse de la psychanliste

Rien ne me vexe !

Je suis pas assez bien.
La susceptibilité est liée chez vous à un sentiment d’imperfection et à un manque de confiance en vous.
Vous cherchez souvent à être parfait(e) et à apparaître aux yeux d’autrui comme un être génial. Du coup, vous vivez les remarques comme des preuves évidentes de votre imperfection. Si quelqu'un est en désaccord avec vous, ou bien se moque gentiment, vous avez l’impression que vous n’êtes plus faite que de défauts, de faiblesses et de lacunes. Vous vous sentez alors profondément blessé(e).
De plus, vous avez tendance à généraliser : si l’on vous dit " Ton devoir n’était pas terrible ", vous pensez automatiquement : " JE ne suis pas terrible ". Car votre petite faille réside dans le fait que votre image et votre confiance en vous dépendent totalement du regard des autres. Vous avez du mal à rester axé(e), sûr(e) de vous, en faisant abstraction de leur opinion sur vous. Et l'on note également chez vous une certaine aptitude à envier les autres qui, forcément, sont toujours mieux que vous !

Peut-être n’avez-vous pas été assez valorisé(e) étant petit enfant. Un frère, une sœur, ou bien un camarade de classe était-il sans cesse “devant” vous, montré comme l’excellent exemple à suivre ? Le susceptible en vous est ce petit enfant en quête de lui-même, de sa propre place et qui cherche désespérément dans le regard des autres l’amour absolu d’un parent idéal.

Trouvez ce parent encourageant et valorisant en vous-même et non plus en l’autre. Vous serez moins à l’affût de compliments et surtout beaucoup moins sensible aux éventuelles critiques que vous saurez alors accueillir à leur juste valeur.
Aussi, essayez de voir à qui, VOUS, vous en voulez. Et laissez exprimer ce que vous refoulez facilement et ruminez depuis longtemps, toutes ces choses qui entretiennent votre susceptibilité… Votre rapport aux autres, et notamment à leurs remarques, en sera bien plus léger !

C'est vrai que le regard de l'autre est pour moi une quasi-hantise...

Rien ne me vexe !
Chez vous, la susceptibilité se dissimule derrière une apparente indifférence.
En effet, l’ensemble des petites phrases qui peuvent vexer la plupart de vos congénères, semblent ne rien provoquer chez vous. Comme si aucune remarque, même un brin déplaisante, ne pouvait vous atteindre…Vous donnez l’impression de vous en moquer royalement.

Mais derrière cela se cachent souvent des stratégies habiles qui visent à ne pas laisser les sentiments liés à la susceptibilité se réveiller : vous essayez alors de vous boucher symboliquement les oreilles, mais plus rusé, vous cherchez systématiquement aux propos des autres – lorsqu’ils vous blessent - des excuses : " il ne pensait pas ce qu’il disait " ou encore " il est très stressé en ce moment "… Pratique, certes, mais toutes ces astuces efface pas la susceptibilité !
Vous semblez ne pas oser vous laisser réagir. Au fond de vous, il y a probablement une dose de colère et d’agressivité très forte que vous avez peur d’assumer face aux autres. Vous ne vous donnez pas le droit de répondre, de vous justifier… de vous affirmer en somme. Et cela, sans doute parce que vous avez longtemps “encaisser” sans jamais répliquer. Il y a ainsi en vous une partie très blessée qui réagit profondément à la moindre remarque, mais qui est étouffée par votre bouclier de banalisations.

Aussi, ne vous dissimulez plus. Apprenez peu à peu à trouver d’autres modes de réaction que la fuite : face aux vraies attaques, défendez-vous. Et face aux petites phrases qui chatouillent votre susceptibilité, pourquoi ne pas essayer l’humour ?

Putain je craint.

Rien ne me vexe !

Chez vous, la susceptibilité se dissimule derrière une apparente indifférence.
En effet, l’ensemble des petites phrases qui peuvent vexer la plupart de vos congénères, semblent ne rien provoquer chez vous. Comme si aucune remarque, même un brin déplaisante, ne pouvait vous atteindre…Vous donnez l’impression de vous en moquer royalement.

Mais derrière cela se cachent souvent des stratégies habiles qui visent à ne pas laisser les sentiments liés à la susceptibilité se réveiller : vous essayez alors de vous boucher symboliquement les oreilles, mais plus rusé, vous cherchez systématiquement aux propos des autres – lorsqu’ils vous blessent - des excuses : " il ne pensait pas ce qu’il disait " ou encore " il est très stressé en ce moment "… Pratique, certes, mais toutes ces astuces efface pas la susceptibilité !
Vous semblez ne pas oser vous laisser réagir. Au fond de vous, il y a probablement une dose de colère et d’agressivité très forte que vous avez peur d’assumer face aux autres. Vous ne vous donnez pas le droit de répondre, de vous justifier… de vous affirmer en somme. Et cela, sans doute parce que vous avez longtemps “encaisser” sans jamais répliquer. Il y a ainsi en vous une partie très blessée qui réagit profondément à la moindre remarque, mais qui est étouffée par votre bouclier de banalisations.

Aussi, ne vous dissimulez plus. Apprenez peu à peu à trouver d’autres modes de réaction que la fuite : face aux vraies attaques, défendez-vous. Et face aux petites phrases qui chatouillent votre susceptibilité, pourquoi ne pas essayer l’humour ?




Arf, si moi je ne suis pas succeptible !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!