Article dans le supplément tv du nouvel obs...

Logiquement le 16 paraitra dans le supplément tv du nouvel obs un article sur la série pour son lancement dans lequel on parlera de ce forum en principe... oui...oui...
Les filles, c'est le début de la gloire... fauxq

je ne manquerai pas de l'acheter vero!!!
ce serai cool (pour toi aussi)

serai-je plus contente de savoir que ton site y paraisse??? ou pour l'article de Lword ?

sans faillotage wink !!!!tu as du te donner beaucoup de mal pour realiser tout ca!! tu merite bien un article!!!

ok pour le 16!!! fla#

Ah c'est cool!! Contente pour toi!!
Tu pourras nous le rappeler à l'occasion?? merci!

cool pr toi !! c une bonne nouvelle wink

L'article est paru ce jour dans le sup TV du Nouvel Obs avec Florence Aubenas en couv, sous l'appellation "Gazon béni" lol. Je n'ai que 2 regrets... 1 - on n'y parle pas plus que ça du forum 2 - pas plus de l'intitulé du DESS... Sinon l'article est sympa, je vous le conseille : 1 page compléte sur The L Word, mazette!
S'il est mis en ligne je vous donnerai le lien...

Dommage pour le forum!!! tristeuh

damn!!!

mai j'attend le lien volontiers....

Voici le lien en ligne de l'article du Nouvel Obs :


http://telecineobs.nouvelobs.com/ARTICLES/A271108.asp


Et bonne soirée devant Canal.... gpri#

fla#

Mais avant, ne loupez pas un doc sur un fait divers trés tragique survenu prés de chez moi, à Reims : le passage à tabac, suivi de l'homicide d'un homosexuel sur un lieu de drague par des jeunes qui voulaient "casser du pédé" faute d'avoir pu "casser de l'arabe"...
Ca s'appelle : "Au-delà de la haine" et c'est sur FRANCE 5 à 15h00, Réalisé par Olivier Meyrou en 2004.
C'est suivi de : "D'un monde à l'autre : le débat"
Paul Amar et ses invités débattent ensemble sur l'homophobie.
Trois axes sont développés : l'homophobie au quotidien et ses conséquences, les progrès réalisés ou non en matière de tolérance, et enfin les droits accordés aux homosexuels aujourd'hui en France concernant les enfants.

Une question pour laquelle je pens déjà avoir la réponse....je suppose que c t le 16 du mois de juin....arf zut alors...

personne n'aurait un scanner pour m'envoyer le supplément par mail?

snif snif

kisous

tara whhatt

Tu as le lien donné par Véro. A moins que je n'aie rien compris à ce que tu recherches?

Tu as raison kitty c moi qui avé po vu....

désolée véro g po fé attention....

kisous et merci kitty...

Tara

A ton service

y aurait il des articles ces temps ci de sympa sur la série?

Savez vous si un mag uniquement sur la série serait sorti aux States ?

Comme je viens de retomber sur ma copie de l'article du tele obs du 16 juin (quelle prevoyance!!!) et qu'il n'est plus dispo, je me permets de vous en faire une copier-coller!

Citation :

Des héroïnes lesbiennes et heureuses de l’être : une révolution.
Gazon béni

Tina, Bette, Shane et autres filles du quartier. Elles aiment bavarder entre copines au café du coin et savoir qui couche avec qui. Et puis, aussi, elles aiment… les filles. A West Hollywood, le quartier de la communauté gay et lesbienne de Los Angeles, les chérubines de la Cité des Anges ont la trentaine, un budget fringues illimité, des boulots qui font rêver. On jurerait les cou-sines californiennes des New-Yorkaises de « Sex and The City ». Sauf que, « The L Word », c’est « same sex, different city » (« le même sexe, une autre ville »), dixit la campagne d’affichage pour le lancement de la série aux Etats-Unis. Sur l’affiche, une brochette de bombes sexuelles. Il y a Tina et Bette qui veulent un enfant et courent derrière les précieux flacons de sperme des gentils donneurs. Shane, Don Juanita irrécupérable qui tombe les filles plus vite que son ombre. Marina, beauté statuaire qui sait réchauffer l’atmosphère en susurrant quelques mots in french . Et puis Dana, la joueuse de tennis, Alice, clonette attendrissante de Meg Ryan, et Jenny, l’hétéro qui ne le restera pas longtemps…
Des homosexuelles héroïnes d’une série télé ? Ce n’est « pas une évolution, c’est une révolution », s’enthousiasme une fan sur un forum américain. La lesbienne, jusqu’ici, c’était plutôt la femme invisible. Aux Etats-Unis, « The Ellen Show », avec l’icône lesbienne Ellen De Generes, ou « Queer As Folk » (avec un couple de femmes au milieu des garçons) ont ouvert la voie. Mais en France, si les gays commencent à avoir droit de cité à la télévision, toujours pas la moindre lesbienne à l’horizon. « Sauf dans les émissions de société sur l’homoparentalité, souligne David Lebois, responsable de la rubrique télévision de Média-G, l’observatoire de l’homosexualité dans les médias français. Là, on préfère montrer des couples de femmes que des hommes, c’est plus rassurant. » Mais côté fiction, à part quelques quatrièmes rôles au fond à droite, rien à signaler. D’où l’effervescence déclenchée par « L Word ».
Séverine, 30 ans, a découvert la série au moment de la diffusion du pilote, en novembre dernier, sur Canal+. Elle a illico téléchargé les épisodes sur internet. « Avec Hélène, mon amie, on a regardé toute la première saison en une journée », raconte-t-elle. Depuis, elle discute régulièrement avec d’autres fans sur les forums consacrés à la série qui bouillonnent déjà depuis quelques mois, signe d’une attente à la hauteur de la frustration. « «L Word», c’est un peu la conquête de la visibilité positive sur le no man’s land de la représentation lesbienne », peut-on lire sur l’un d’eux. Véronique Leturque, 33 ans, a choisi, dans le cadre de son DESS, d’y consacrer son mémoire. Elle insiste sur cette visibilité positive : « C’est la première fois qu’on voit des lesbiennes heureuses, dont la vie n’est pas une tragédie perpétuelle. » Bref, des filles bien dans leurs escarpins. Car les mutines héroïnes de « L Word » sont plutôt gazon béni, incarnation parfaite des lipstick girls, ces lesbiennes qui mettent du rouge à lèvres. Au grand désespoir des « butch » , cheveux courts et rangers, qui râlent de ne pas se retrouver dans la série. « C’est une fiction commerciale qui doit plaire à tout le monde, rappelle Véronique Leturque. Au public lesbien, aux hétéros mecs qui peuvent fantasmer à loisir et aux hétéros filles intéressées par ces questions sur la condition féminine, en général. » Sandra Ouaiss, directrice des acquisitions de fiction pour Canal+, approuve : « Il s’agit de thèmes universels. L’usure du couple ou le désir d’enfant, ça concerne tout le monde. » La preuve, la chaîne payante Showtime a quadruplé son audience moyenne lors de la première saison. Depuis, une deuxième saison a déjà vu le jour et une troisième est en route.
Un succès qui ne bride pas la liberté de ton ni d’action de la série. Tout, tout, tout, vous saurez tout sur l’éjaculation féminine précoce, la vaginoplastie ou les sextoys . Et vous en prendrez plein les mirettes avec des scènes érotiques qui ne cachent pas leur fonction libidinale. Bref, pour beaucoup de téléspectatrices, « L Word », c’est un monde idéal où l’on prend son pied et où l’on vit son homosexualité sans obstacles. Mais de Los Angeles à Metz, il y a parfois un océan de préjugés. Séverine et sa copine Hélène vivent dans la préfecture de la Moselle : « Les filles de «L» qui s’embrassent en public sans se poser de questions, ça fait rêver… » Et si la fiction et son pouvoir d’identification pouvaient faire évoluer les mentalités ? Pour Véronique Leturque, « cela peut aussi agir comme un déclic libérateur pour certaines » Elle-même se souvient de ses 15 ans et d’un « reportage flippant sur des lesbiennes qui se faisaient traiter de sales gouines : si j’avais eu la chance de voir une série comme celle-là, ça m’aurait épargné quelques angoisses… »
Marjolaine Jarry

Collé à partir de <http://telecineobs.nouvelobs.com/ARTICLES/A271108.asp>

merci bien véro

merci bcp d'avoir mi cet article, c'est la 1ère foi ke j'en li un sur the LWord et ça m'a fai chaud au coeur! fau dire ke la séri est passé plutot inaperçu en France ( là je parle du gd public d'hétéro): primo c'est diffusé sur 2 chaines payantes et deuxio pdt la saison morte: les vacances d'été! et maintenant Canal+ nou fai tte une promo pour SA "série phare" Deseperate Housewife"...
C clair ke les gays ont la part bell à coté des lesbienn...