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 the tennis' love

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MessageSujet: the tennis' love   the tennis' love EmptyVen 15 Sep - 17:00

voilà, je vous demande d'etre indulgents svp car cela fait maintenant un an que je n'ai pas fait de fanfic!!!!
Titre: The tennis’ love
Personnages: Dana, Lara, Amélie, Kerry, Kim, Emma.

Chapitre 1
C’était un beau jour d’été. Ma mère, Kerry, m’annonce qu’elle veut faire une grande fête pour mes 18 ans. Je n’ai jamais été habituée d’avoir une fête d’anniversaire chaque année. Cette année, encore plus. Depuis ma tendre enfance, je vis avec mon père et il ne m’a jamais souhaité mon anniversaire ni offert un cadeau. Mais depuis que ma belle-mère est arrivée, ma vie a énormément changé. J’ai un cadeau à chaque anniversaire. Le plus beau que j’ai eu, c’était à mes 14 ans. Cela faisait deux ans que ma belle-mère essayait de trouver ma mère. Le jour de mes 14 ans, elle m’annonça qu’elle l’avait trouvé et que je la connaissais. En effet, ma mère est médecin urgentiste et c’est elle qui s’occupait de moi dès que j’allais à l’hosto. Ce fut le plus beau jour de ma vie.
Cette année, c’est mes 18 ans et quoi de mieux pour les fêter de faire une grande fête. Elle accepte que j’invite mes amis. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que j’en ai pas mal d’amis. Elle fixe une date pour la fête et commence tout doucement à chercher un chef cuisinier. Les semaines passent et elle commence à s’énerver: elle ne trouve pas de cuisinier. Kim et moi essayons de la rassurer. Cela ne dure jamais longtemps. Les invitations reviennent de plus en plus et ma mère se rend compte du nombre important d’invités. A mi-août, on se retrouve déjà avec 60 invités, la plupart étant mes amis.
Un jour, peu avant la rentrée, je vois une petite annonce disant qu’un chef cuisinier faisait des réceptions, des repas d’anniversaire, mariage, etc.… J’ai sauté sur l’occasion et en ai parlé à ma mère. Elle prit directement le téléphone pour appeler. Je fus heureuse car étant passionnée par la cuisine, je sus que je pourrai apprendre plein de choses. Ma mère raccrocha tout en ayant pris un rendez-vous pour voir ce que le cuisinier proposait. Aussitôt dit aussitôt fait. Une semaine plus tard, le cuisinier arriva et là, stupéfaction de notre part, le cuisinier se trouve être une cuisinière, du nom de Lara Perkins. Dans le coin, on n’a pas l’habitude de voir des femmes chef cuisinières. En tout cas, le contact passa facilement entre ma mère et elle, et surtout entre elle et moi. Je sentis que j’allais enfin approfondir mes connaissances.
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theanais
Pilier du Planet!
theanais


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MessageSujet: Re: the tennis' love   the tennis' love EmptyDim 17 Sep - 18:22

le début est bien bon c'est un peu court certe mais j'attends la suite avec impatience
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MessageSujet: Re: the tennis' love   the tennis' love EmptyVen 29 Sep - 21:39

voilà, je vous mets la fin parce que j'ai pas l'occasion d'aller sur internet tout le temps!!!!
Chapitre 2
Les mois passèrent. Je passais beaucoup de temps avec Lara pour connaître d’autres recettes et tous les petits trucs à faire et à ne pas faire. On s’amusait pas mal, on apprenait à se connaître aussi. Quand elle a su que j’aimais le tennis et que je le pratiquais, elle m’a présenté de suite sa petite amie: Dana Fairbanks. J’étais folle de joie de la voir en vraie. J’en rêvais énormément mais ce que je rêvais par-dessus tout, c’est de rencontrer Amélie Mauresmo. Coup de chance, Dana était amie avec elle et se ferait un plaisir de me la présenter. C’était, comme elle disait, un peu un cadeau. Je ne pouvais pas rêver mieux comme cadeau.
Le jour de ma fête arriva et je n’avais pas encore rencontré Amélie. Je commençais à m’impatienter. Pourtant, je savais qu’elle était très occupée entre ses tournois et ses entraînements. Je me demandais si Dana ne me mentait pas. C’est vrai, cela ne fait pas longtemps que je la connais et voilà que pour mes 18 ans, elle veut m’offrir un aussi beau cadeau. Enfin, les cours me faisaient revenir à la réalité. Les journées passèrent assez vite. Les vacances arrivaient à grand pas et j’en fus heureuse.
Soir de ma fête. 19h50. La fête bat son plein. Tout le monde a l’air de s’amuser. On doit bien être 80 à 90 personnes. Cela me fait bizarre de voir autant de monde, surtout des gens que je ne connais pas. Et puis, la question de savoir si je verrai un jour Amélie me trotte toujours dans la tête. Mes amis le voient bien et essayent de me changer les idées. Je ne sais pas mais j’ai comme un pressentiment qu’il va se passer quelque chose et que tout le monde est dans le coup. Ils sont tous à me regarder avec un petit sourire et à me regarder de côté. Mais bon, j’oublie et je continue à m’amuser.
20h00. Plus de musique. Ma mère s’approche du micro, sort un bout de papier et le déplie. Elle commence à lire. Tout ce qu’elle dit me touche profondément. J’en ai les larmes aux yeux. Mes amis sont là pour m’encourager à rester forte. Au loin, Kim me sourit d’un air sincère. Pourtant, je sais qu’avec elle, tout ne s’est pas passé comme on le voulait. A la fin de son speech, tout le monde applaudit et ma mère se dirige vers moi et me fait la bise. Elle me dit que je dois me tourner vers la porte, qu’une surprise m’attend. Là, l’espoir renaît. Je repense à ce que Dana m’avait dit. La porte s’ouvrit et qui vois-je? Amélie. Là, je sais pas pourquoi mais je me suis évanouie. Cinq minutes plus tard, je me suis réveillée et la première personne que j’ai vue, fut Amélie. Tout le monde fut là à me regarder, voir si tout allait bien. Evidemment, tout allait bien. Après mure réflexion, je crois savoir pourquoi je me suis évanouie. J’ai craqué sur Amélie. Je l’ai senti quand je l’ai vue quand les portes se sont ouvertes et quand je l’ai vue à mon réveil. Ce fut un choc fulgurant, ahurissant. Jamais je n’avais ressenti cela avant cette soirée.

Chapitre 3
Cela faisait déjà trois heures qu’Amélie était là et je ne m’en étais toujours pas remise. Il faut dire que c’est mon idole, que je rêverai de jouer un jour comme elle. En plus, je crois être amoureuse d’elle. Depuis qu’elle est là, je me crois dans un rêve: le chef cuisinier le plus connu du monde entier est là, deux grandes joueuses du tennis (respectivement 1ère et 3ème mondiales) sont là. Pourtant, c’est bien la réalité. Je suis entourée de grandes joueuses de tennis et en plus, elles ont l’air de s’amuser. Je n’aurai jamais assez de temps pour remercier tout ce monde qui s’est démerdé (désolé de l’expression) pour amener tout ce beau monde. Je soupçonne même mes meilleurs amis d’être dans le coup. Enfin bon, je ne vais pas me plaindre.
Je profite un max de cette soirée magnifique. Le repas est excellent, la musique trop forte. Je danse un max, je n’ai jamais le temps de finir mon plat, tellement que je danse. Ma famille est heureuse de me voir comme çà alors qu’il y a quatre ans, il était inimaginable de penser qu’un jour je serai comme çà. Je croise le regard de ma mère et la vois tout émue, les larmes aux yeux. Je vais vers elle et la console, lui disant que tout çà ne serait pas arriver sans elle et tout le personnel hospitalier. Elle en est toute retournée. Je lui dis qu’elle devrait profiter de cette soirée car cela n’arrivera pas souvent. Elle s’essuya les yeux et alla rejoindre sa compagne qui dansait. Je les vis toutes les deux se regardant droit dans les yeux et un grand sourire sur leurs lèvres. Je fus heureuse de les voir comme ça. Soudain, je fus revenu à la réalité par Amélie qui m’appelait. Elle voulait me parler en privé. Je fus surprise. Quand je regardai Dana, cette dernière me fit un clin d’œil. Je me disais qu’elle devait être cinglée. Je suivis Amélie et nous sommes allées dans le hall de la salle.
Cela faisait cinq minutes que l’on se regardait et qu’aucun mot ne sortait de nos bouches. J’allais amorcer la conversation mais elle fut trop rapide pour moi. «Alors, Emma, tu es fan de tennis m’a dit ta mère ?» me dit-elle. Là, je ne savais pas quoi dire, tellement subjuguée par sa beauté et par sa voix. Je répondis d’un oui de la tête. Elle me demandait de faire des critiques sur certaines joueuses et sur certaines choses sur le tennis, comme l’égalité hommes femmes pour les gains. Je me mis à faire une sorte de dissertation sur l’égalité des gains. Elle fut surprise de ce que je racontais mais elle n’était pas contre sur mes arguments. Pour ce qui est des joueuses, j’arrivais à dire des choses que je ne pensais pas dire un jour, enfin seulement à mon journal intime. Et là, elle me posa la question que je redoutais tant: «Et tu penses quoi de mon jeu?». Là, je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie comme glacée. Plus un mot ne sortait de ma bouche. Enfin, après dix bonnes minutes, je commençais à lui proposer certaines choses que j’aurai faites depuis pas mal de temps. Elle prit note et commençait à me poser des questions sur ma vie. Là, je la stoppait lui disant que je n’avais pas envie d’en parler, vu ce que j’ai subi. Elle comprit et me demanda ce qu je voulais faire plus tard. Je lui répondis que je voulais faire tenniswomen mais je savais que c’était trop tard. Je n’ai pas de sponsor, pas d’entraîneur et je ne me suis pas entraîné depuis pas mal de temps. Elle me proposa de m’entraîner si je lui disais ce qui n’allait pas après chaque match. Je voyais là une occasion de réaliser un rêve. Je lui répondis directement «volontiers». Elle en fut heureuse et moi aussi. On est reparti dans la salle.

Chapitre 4
Quatre mois plus tard. J’avais beaucoup travaillé, tant au niveau scolaire que tennistique. Ma mère voulait bien me laisser faire du tennis si seulement je bossais à l’école. Vu que je voulais faire du tennis, je me suis mise à bosser. Je me trouve dans les premiers de la classe et tout le monde me prend pour une intello mais j’en ai rien à faire, mes amis me connaissent et savent très bien pourquoi je bosse autant. Ils me voient heureuse et en sont contents. En plus, j’ai l’impression qu’avec Amélie, une relation plus qu’amicale est possible. J’en suis très heureuse puisque mon amour pour elle grandit de jour en jour. Mais j’ai quand même peur, peur du regard des autres. Pourtant, quand je me balade avec ma mère et Kim, je ne ressens aucune gène. Je me sens bien. Mais là, j’ai peur. Je ne pourrai pas dire pourquoi. Mes amis tentent de remonter le moral et ils y arrivent. Franchement, je n’aurai pas cet entourage, je crois que je sombrerai. Enfin bon, je profite bien de tous les moments passés avec elle. Elle m’a même passé une clé de chez elle si un jour, je n’avais pas le courage de rentrer chez moi et qu’elle n’était pas là. J’y suis déjà allé pour voir comment c’était. J’en suis restée bouche bée. C’était une maison la plus simple possible. Moi, qui croyait que les gens gagnant beaucoup d’argent avaient des maisons comme dans les films, là, c’était tout autre chose. J’ai bien compris à ce moment-là qu’elle avait gardé les pieds sur terre, malgré sa notoriété.
Les entraînements sont de plus en plus durs mais le résultat est là: je grimpe dans le classement. Le public commence à me connaître mais je n’ai pas encore gagné le moindre titre. Je suis un peu déçue mais je sais tirer de mes échecs des enseignements. Je m’entraîne de plus en plus pour pouvoir y arriver. Amélie me conseille toujours, mon entourage est très présent et cela se ressent dans mon jeu. Tout le monde a confiance et cela me procure une confiance monumentale. Je me rapproche petit à petit du top 100. Les portes des tournois du Grand Chelem se rapprochent de moi. Je n’aurai plus besoin de passer par les qualifications pour jouer dans le tableau final. Je n’aurai pas penser qu’en un an, j’aurai gagner autant de matchs. J’ai gagné au moins cinq cents places. J’ai halluciné quand Amélie m’a dit que j’étais 105ème joueuse mondiale.

Chapitre 5
Tout se bouscule quand un beau jour de mai, je gagne le match qui fera décoller ma carrière. J’avais bénéficié au lycée de deux semaines de «congés». C’était un lundi, jour du début du tournoi de Roland Garros. Je jouais sur le Central contre la deuxième mondiale, Lindsay Davenport. Ma mère, Kim et quelques amis avaient fait le voyage pour me voir jouer. Il faisait une chaleur à crever. Le match commença très mal pour moi: je perdis le premier set sur un score assez dur à avaler: 6-0. J’étais bouleversée par ce score. Le second set repartit comme le premier. Je commençais à perdre tout espoir de gagner rien qu’un jeu. C’est à ce moment-là que j’entendis une voix qui m’était familière. Un «Allez Emma» qui me fit reprendre confiance. J’avais compris que la femme que j’aimais était là pour me supporter. Je regardais vers mon clan et vis Amélie assise près de ma meilleure amie. Elles portaient toutes les deux une banderole sur laquelle était écrit «On est avec toi». Voir ça m’a remonté à bloc. A partir de ce moment-là, j’étais une tout autre personne, plus combative, plus sérieuse, plus dans le match. Le match était relancé. Je remontais dans le match. Le public fut ravi que je marque mes premiers jeux. Le deuxième set fut remporté au tie-break. Le public put assister à un troisième set. J’allais montrer à mon adversaire quelle joueuse j’étais. Je n’avais jamais été comme ça mais je savais à ce moment-là qu’en jouant comme ça, je pouvais gagner encore plus rapidement des places dans le classement. Le troisième set fut encore serré. Il fut remporté encore sur un tie-break. Quand la balle de match fut gagnée, je me mis à genoux, les bras en l’air. C’est la première fois que je faisais un match aussi sérieux. En plus, grâce à cette balle de match gagnée, c’était la première fois que je gagnais contre une top ten. J’allais serrer la main de mon adversaire, avec un grand sourire. Elle me complimentait sur ma performance, ce qui me toucha profondément. Je remerciais le public d’avoir cru en moi et surtout mon entourage.
Les matchs se suivent mais ne se ressemblent pas. Les deuxième et troisième tours firent gagnés haut la main. Pourtant, je jouais contre des joueuses plus fortes que moi. Mais cette victoire contre Davenport me donna des ailes, ce qui expliqua cette vitesse dans ces deux tours. Amélie fut là à chaque fois pour m’encourager. J’allais la voir jouer et je l’observais. Je pris note de certains gestes et les réutilisais lors de mes matchs. On se voyait de plus en plus, j’avais l’impression qu’elle était la grande sœur que j’avais tant rêvée. Elle donnait toujours des conseils sur telle ou telle chose. On passait aussi du temps à se regarder droit dans les yeux sans parler. Notre amitié devenait bizarre. Enfin, le lendemain, lors de son match, elle tordit la cheville. Impossible de continuer le match. Elle dut évidemment abandonnée. Elle était écoeurée d’arrêter. Elle qui n’a jamais été plus loin que le quart de finale, arrêter en demi-finale à cause d’une cheville, c’est une chose qui vous reste en travers de la gorge. Je suis allée la voir, la consoler. J’avais un match dans deux heures environ et je n’avais pour rien au monde envie de laisser Amélie toute seule. Elle a su me convaincre d’aller faire ce match et de partir directement m’entraîner. J’étais dégoûtée de la laisser comme ça, dans cet état.
Le match commença dans la plus mauvaise voie. Comme à mon premier match, je perdis vite les pédales. Là, j’avais la pression d’être la dernière chance de gagner le tournoi, c’était aussi la première fois depuis le début de ma toute jeune carrière (un an seulement) que j’étais en demi-finale. En plus de tout ça, je repensais à Amélie si près du but. A la fin du premier set (que j’avais perdu 6-0, encore une fois), je pensais abandonner pour montrer ma solidarité à mon idole. Mais quand j’ai vu tout le public voué à me supporter jusqu’au bout, je repris courage. On part se placer. Au moment de croiser mon adversaire, elle me jeta un regard de fou pour m’impressionner. Si elle pense me faire peur, c’est mal barré. C’est à moi de servir. Je fais rebondir ma balle et au moment de lancer ma balle, je vois Amélie avec une banderole sur laquelle est écrit ce mot que je n’oublierai pas de si tôt: «Je t’aime de tout mon cœur». Ma balle rebondit, je ne revenais pas de cette banderole. Le public fut étonné et un bruit envahit le court. Pas mal de monde avait lu la banderole et nous regardait. Amélie retourna la banderole et je pus lire «joue avec ton cœur et tes tripes et non parce qu’il faut que tu joue ce match». J’ai eu un éclair de lucidité. Depuis ce moment, j’ai déroulé la partie. Mon adversaire, Maria Sharapova et quatrième mondiale, s’en est pris plein dans la face. Un 6-2, 6-1 pour moi et me voilà propulser en finale pour mon premier Grand Chelem de ma vie, en ayant battue deux joueuses du top five. Je n’en revenais pas.
Après ce match intense, je suis allée parlée à Amélie. Elle m’a expliqué pendant une heure le pourquoi de cette banderole et m’embrassa. Loïc, son entraîneur (et le mien à mi-temps), fut enfin heureux que son poulain ait osé. Il m’emmena ensuite à la salle des conférences de presse, salle que je connaissais depuis peu puisque depuis mon premier tour où j’avais gagné contre Davenport, j’y allais après chaque match. On me parla de mon match et évidemment d’Amélie. Je les envoyai «chier» puisque je n’avais nullement envie de leur en parler. Je partis rejoindre Amélie à son hôtel et passa la nuit avec elle. Je me sentis bien avec elle cette nuit-là et oublia tous les tracas de ma vie. La journée qui suivit fut reposante. Je n’avais entraînement que le soir. On parla tactique.
Le lendemain, jour de la grande finale à Roland Garros. Match entre la deuxième mondiale, qui, si elle gagne le tournoi, devient numéro un contre la quatre-vingt-dixième mondiale. Match entre seize tournois glanés et zéro tournois à son actif. Match pas du tout équitable. On pourrait croire à un rêve mais c’est bien la réalité. Je vous laisse imaginer la fin de cette histoire. Justine ou moi, Emma, reine de Roland Garros? Le baiser entre Amélie et Emma va-t-il déboucher sur une relation sérieuse? A vous de choisir.
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wiwi
Julie McCoy
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MessageSujet: Re: the tennis' love   the tennis' love EmptySam 30 Sep - 1:12

fete fete beauuu Matchhh !!!
(Raah la banderole, je l'ai bien imaginée !!! gooood )

Améliiiieeeeeeeeeeeeee, t'es la meilleuuuuure !!!!
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mati
Dana's jokes!
mati


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MessageSujet: Re: the tennis' love   the tennis' love EmptyVen 6 Oct - 22:54

j'adore charmeuse
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MessageSujet: Re: the tennis' love   the tennis' love Empty

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