Comment gérer vous les coups de déprime

Bon ben puisque wiwi ne nous propose plus de test en ce moment, je prend le relai

http://www.mood.fr/site/294/default.aspx

“L'occasion d'apprendre”

Vous semblez gérer positivement les coups de déprime.
Ils vous envahissent de temps à autre, et sont le plus souvent liés à des regrets : une sorte de nostalgie des bons moments, comme les vacances, l’insouciance de la petite enfance…Vous vous sentez alors l’âme mélancolique, avec une baisse de motivation et des envies plutôt rares.

Dans ces moments-là, vous avez tendance à lever le pied et à vous interroger : à quoi est-ce du ? Est-ce une fatigue passagère due au surmenage ? Est-ce une déception, une blessure ignorée auparavant qui cherche désormais à s’exprimer ?
Vous profitez ainsi de cette parenthèse - certes délicate – pour faire le point sur vos désirs, vos satisfactions, vos peines etc.
Cela vous permet de gérer positivement vos baisses de moral, en leur donnant un sens et par conséquent, une porte de sortie…

Cette attitude vous est possible car vous avez plein de points épanouissants auxquels vous raccrocher dans votre vie, dans lesquels vous puisez vos remèdes anti-déprime selon les besoins. Par ailleurs, vous avez confiance en vos capacités à rebondir et pouvez donc accueillir une vague de tristesse sans vous y noyer.

Aussi, continuez à transformer les coups de cafards et la vie ne manquera pas de vous faire un coup de chapeau !

C'est assez vrai, sauf le dernier paragraphe (je manque cruellement de confiance en moi), ce qui me permet de me dire "Demain, ça ira mieux", c'est mon optimisme (naif ?).

“L'acceptation”

Vous adoptez, vis-à-vis de la déprime, une attitude quelque peu défaitiste. Vous baissez les bras quand vous la sentez arriver, vous n’éprouvez ni l’envie ni l’énergie de lutter contre. Vous la considérez comme une fatalité et vous la laissez s’installer, attendant patiemment qu’elle daigne partir un beau jour, comme par magie.

Le problème, c’est que vous avez une sensibilité particulière à la déprime : vous évoluez dans un univers où motivation, joie, spontanéité et ténacité font régulièrement défaut. Vos moments de déprime s’installent alors sur un comportement et une personnalité déjà teintés de manifestations dépressives.

Cette fragilité par rapport aux émotions tristes prend racine dans votre manque de sources de satisfaction : parce que vous ne pouvez vous raccrocher à des plaisirs riches et variés, vous vous sentez vite pris(e) au dépourvu. Autre facteur de déstabilisation : vous semblez croire que le bonheur n’est pas pour vous, que la vie ne peut vous sourire. C’est pourquoi vous avez perdu vos envies de construction, d’échanges : vous n’avez plus foi en vous ni en les autres. D’où votre attitude plus passive qu’active…

Pour réagir, puisez dans vos désirs, réveillez-les. Et surtout, recréez des liens enrichissants avec l’extérieur : ce seront vos meilleurs antidépresseurs…

“L'acceptation”

Vous adoptez, vis-à-vis de la déprime, une attitude quelque peu défaitiste. Vous baissez les bras quand vous la sentez arriver, vous n’éprouvez ni l’envie ni l’énergie de lutter contre. Vous la considérez comme une fatalité et vous la laissez s’installer, attendant patiemment qu’elle daigne partir un beau jour, comme par magie.

Le problème, c’est que vous avez une sensibilité particulière à la déprime : vous évoluez dans un univers où motivation, joie, spontanéité et ténacité font régulièrement défaut. Vos moments de déprime s’installent alors sur un comportement et une personnalité déjà teintés de manifestations dépressives.

Cette fragilité par rapport aux émotions tristes prend racine dans votre manque de sources de satisfaction : parce que vous ne pouvez vous raccrocher à des plaisirs riches et variés, vous vous sentez vite pris(e) au dépourvu. Autre facteur de déstabilisation : vous semblez croire que le bonheur n’est pas pour vous, que la vie ne peut vous sourire. C’est pourquoi vous avez perdu vos envies de construction, d’échanges : vous n’avez plus foi en vous ni en les autres. D’où votre attitude plus passive qu’active…




Pour réagir, puisez dans vos désirs, réveillez-les. Et surtout, recréez des liens enrichissants avec l’extérieur : ce seront vos meilleurs antidépresseurs…

Comment gérez-vous les coups de déprime ?
“L'acceptation”
Vous adoptez, vis-à-vis de la déprime, une attitude quelque peu défaitiste. Vous baissez les bras quand vous la sentez arriver, vous n’éprouvez ni l’envie ni l’énergie de lutter contre. Vous la considérez comme une fatalité et vous la laissez s’installer, attendant patiemment qu’elle daigne partir un beau jour, comme par magie.

Le problème, c’est que vous avez une sensibilité particulière à la déprime : vous évoluez dans un univers où motivation, joie, spontanéité et ténacité font régulièrement défaut. Vos moments de déprime s’installent alors sur un comportement et une personnalité déjà teintés de manifestations dépressives.

Cette fragilité par rapport aux émotions tristes prend racine dans votre manque de sources de satisfaction : parce que vous ne pouvez vous raccrocher à des plaisirs riches et variés, vous vous sentez vite pris(e) au dépourvu. Autre facteur de déstabilisation : vous semblez croire que le bonheur n’est pas pour vous, que la vie ne peut vous sourire. C’est pourquoi vous avez perdu vos envies de construction, d’échanges : vous n’avez plus foi en vous ni en les autres. D’où votre attitude plus passive qu’active…

Pour réagir, puisez dans vos désirs, réveillez-les. Et surtout, recréez des liens enrichissants avec l’extérieur : ce seront vos meilleurs antidépresseurs…

je suis flip flop

Mag

Pareil, “L'acceptation”.

Pareil.

Et ça:
Autre facteur de déstabilisation : vous semblez croire que le bonheur n’est pas pour vous, que la vie ne peut vous sourire.

me fait penser à ceci:
You say I choose sadness
that it never once has chosen me.
Maybe you're right...

Ce qui a longtemps été vrai pour moi. En fait, dans ces moments j'écoute ou lis des choses tristes, ça me remonte le moral. Y'a rien de plus déprimant qu'une chanson heureuse.

L'occasion d'apprendre!

Ouais c'est assez juste!

Comment gérez-vous les coups de déprime ?
“L'acceptation”
Vous adoptez, vis-à-vis de la déprime, une attitude quelque peu défaitiste. Vous baissez les bras quand vous la sentez arriver, vous n’éprouvez ni l’envie ni l’énergie de lutter contre. Vous la considérez comme une fatalité et vous la laissez s’installer, attendant patiemment qu’elle daigne partir un beau jour, comme par magie.

Le problème, c’est que vous avez une sensibilité particulière à la déprime : vous évoluez dans un univers où motivation, joie, spontanéité et ténacité font régulièrement défaut. Vos moments de déprime s’installent alors sur un comportement et une personnalité déjà teintés de manifestations dépressives.

Cette fragilité par rapport aux émotions tristes prend racine dans votre manque de sources de satisfaction : parce que vous ne pouvez vous raccrocher à des plaisirs riches et variés, vous vous sentez vite pris(e) au dépourvu. Autre facteur de déstabilisation : vous semblez croire que le bonheur n’est pas pour vous, que la vie ne peut vous sourire. C’est pourquoi vous avez perdu vos envies de construction, d’échanges : vous n’avez plus foi en vous ni en les autres. D’où votre attitude plus passive qu’active…

Pour réagir, puisez dans vos désirs, réveillez-les. Et surtout, recréez des liens enrichissants avec l’extérieur : ce seront vos meilleurs antidépresseurs…


Mouais.. non je ne pense pas.. j'accepte assez difficilement les choses.. et même si je suis pas toujours la fille la plus gaie du monde je ne pense pas être passive face à ma trsitesse fondamentale.. disons que ça dépend des moments ..

L'autre jour, à la radio, j'ai entendu un truc abracadabrantesque : Comme quoi la déprime de l'hivers, c'est à cause d'une hormone que le corps produit quand ya du soleil. Et comme en Hivers i lfait gris, ben on produit plus cette hormone et on déprime...
N'importe quoi

Mag a écrit:

Ah si, sans déc' moi ça le fait... 5 jours sans soleil et je suis invivable !!!

Non mais attend, le pire c'est que le type prétendant que faire des UV pouvait servir de traitement

La déprime de l'hivers, c'est psychologiqu : t'ouvre la fenètre tout est gris (voire même il fait encore nuit), tu vas dehors, il pleut...

je connais quelqu'un qui fait des UV par rapport à ça....

Mag a écrit:

je connais quelqu'un qui fait des UV par rapport à ça....

. J'suis sur que c'est psycho-somatique.J'suis sur que ceux sur qui ça marche, c'est l' "effet placebo", que ça marche parce qu'ils y croient...
Tu les fouttrai dans une cabine avec des "faux UV" en leur disant que c'est des vrais, ils seraient tout aussi joyeux en sortant...

Maybe
de toutes façons depuis Destination Finale 3, c'est décidé : je ne ferais JAMAIS d'U.V. !!!!

Pas vu
Mai pas besoin de ce film pour me détourner des UV : je bronze pas, je crame, même avec de l'écran total, au soleil je me transforme en Homard-man

Peau de blond je connais....