Etes-vous vous même ?

J'ai regardé avant de posté ce test je n'ai rien vu de semblable ; si je suis plantée je m'en excuse !!

www.psychologies.com/tests-de-personnalite.cfm/test/1138/Etes-vous-vous-meme.html



Je suis moi, et c’est comme ça” : le moi imposé

Vous êtes un peu trop vous-même. Vous avez une conscience claire de vos intérêts et de vos droits, et vous n’hésitez pas à le faire savoir aux autres. On ne vit qu’une fois, pensez-vous, et pour s’épanouir, il faut bien s’affirmer. Alors, si quelqu’un s’oppose à vos projets, vous ne vous laisserez pas faire. Ce que l’on peut penser de vous vous intéresse, mais ne vous obsède pas et, en tout cas, vous ne construisez pas votre vie sur cela.

Vous avez donc une forte personnalité, ?????
vous êtes capable d’une véritable originalité. Vous êtes doté(e) de qualités de leadership et de créativité incontestables. On vous estime et on vous admire souvent. Mais parfois aussi vous agacez. Vous ne cherchez pas à être agréable et, pire, il vous arrive de ne pas tenir compte de vos interlocuteurs, préoccupé(e) que vous êtes par la recherche et la défense de vos propres intérêts. On peut vous reprocher votre égoïsme. Les psys parleraient d’un certain narcissisme.

Pourquoi ne pas ajouter une qualité supplémentaire à toutes celles que vous possédez déjà, comme le sens de l’écoute et de l’autre ? Nul doute que cela vous conduirait encore plus loin sur le chemin de votre développement personnel. Et puis, accepter quelques frustrations (ne pas avoir le dernier mot, renoncer à montrer à quelqu’un qu’il a tort, sacrifier un peu de son temps ou de son plaisir pour celui des autres…) peut aussi vous apporter de nouvelles satisfactions, celles de l’altruisme.

Là, je demande à voir !!

“Je suis moi, et c’est comme ça” : le moi imposé

Vous êtes un peu trop vous-même. Vous avez une conscience claire de vos intérêts et de vos droits, et vous n’hésitez pas à le faire savoir aux autres. Ça c'est vrai On ne vit qu’une fois, pensez-vous, et pour s’épanouir, il faut bien s’affirmer. Alors, si quelqu’un s’oppose à vos projets, vous ne vous laisserez pas faire. Ce que l’on peut penser de vous vous intéresse, mais ne vous obsède pas et, en tout cas, vous ne construisez pas votre vie sur cela.

Vous avez donc une forte personnalité, vous êtes capable d’une véritable originalité. Vous êtes doté(e) de qualités de leadership et de créativité incontestables. Créativité d'accord leadership alors là... On vous estime et on vous admire souvent. Ah oui vraiment? Mais parfois aussi vous agacez. Ça je sais bien, mais peut-être pour d'autres raisons. Vous ne cherchez pas à être agréable et, pire, il vous arrive de ne pas tenir compte de vos interlocuteurs, préoccupé(e) que vous êtes par la recherche et la défense de vos propres intérêts. Faux et faux. Je suis une personne à l'écoute. On peut vous reprocher votre égoïsme. Les psys parleraient d’un certain narcissisme. Égoïsme moi? Et puis quoi encore.

Pourquoi ne pas ajouter une qualité supplémentaire à toutes celles que vous possédez déjà, comme le sens de l’écoute et de l’autre ? Nul doute que cela vous conduirait encore plus loin sur le chemin de votre développement personnel. Et puis, accepter quelques frustrations (ne pas avoir le dernier mot, renoncer à montrer à quelqu’un qu’il a tort, sacrifier un peu de son temps ou de son plaisir pour celui des autres…) peut aussi vous apporter de nouvelles satisfactions, celles de l’altruisme. Oui...oui c'est ça.

J’essaie d’être moi” : le moi assumé

Vous faites de votre mieux pour être vous-même. Il vous semble possible – même souhaitable – de vivre en exprimant votre personnalité tout entière : vous n’avez pas honte d’assumer vos limites ou de parler de vos défauts, pas plus que vous n’avez de gêne à reconnaître vos qualités ou à vous réjouir de vos points forts. Sur le long terme, il n’y a pas à vos yeux d’autre attitude envisageable pour se sentir bien dans sa vie.

Cela fait de vous une personne sécurisante et agréable pour l’entourage : votre comportement rassure ceux qui doutent, et ne fait pas d’ombre à ceux qui recherchent les premiers rôles. Avec vous, les choses sont simples et naturelles. Tout est donc pour le mieux dans le meilleur des mondes… Presque.
Attention, par exemple, à l’autosatisfaction discrète, qui pourrait vous conduire à l’immobilisme psychologique. Favorable à votre confort émotionnel, votre attitude mentale d’autotolérance l’est peut-être moins à votre développement personnel : l’inconfort et la frustration – s’ils sont occasionnels – peuvent être de puissants leviers de changement, parfois nécessaires. S’assumer est une chose, se figer en est une autre.

Assurez-vous simplement qu’il existe un minimum de surprises, de changements et de découvertes dans votre existence : être soi-même, c’est aussi accepter d’être bousculé par le monde qui nous entoure…

“Je suis moi, et c’est comme ça” : le moi imposé

Vous êtes un peu trop vous-même. Vous avez une conscience claire de vos intérêts et de vos droits, et vous n’hésitez pas à le faire savoir aux autres. On ne vit qu’une fois, pensez-vous, et pour s’épanouir, il faut bien s’affirmer. Alors, si quelqu’un s’oppose à vos projets, vous ne vous laisserez pas faire. Ce que l’on peut penser de vous vous intéresse, mais ne vous obsède pas et, en tout cas, vous ne construisez pas votre vie sur cela.

Vous avez donc une forte personnalité, vous êtes capable d’une véritable originalité. Vous êtes doté(e) de qualités de leadership et de créativité incontestables. On vous estime et on vous admire souvent. Mais parfois aussi vous agacez. Vous ne cherchez pas à être agréable et, pire, il vous arrive de ne pas tenir compte de vos interlocuteurs, préoccupé(e) que vous êtes par la recherche et la défense de vos propres intérêts. On peut vous reprocher votre égoïsme. Les psys parleraient d’un certain narcissisme.

Pourquoi ne pas ajouter une qualité supplémentaire à toutes celles que vous possédez déjà, comme le sens de l’écoute et de l’autre ? Nul doute que cela vous conduirait encore plus loin sur le chemin de votre développement personnel. Et puis, accepter quelques frustrations (ne pas avoir le dernier mot, renoncer à montrer à quelqu’un qu’il a tort, sacrifier un peu de son temps ou de son plaisir pour celui des autres…) peut aussi vous apporter de nouvelles satisfactions, celles de l’altruisme.

Par contre sur la fin je suis pas tout à fait d'accord... Je ne suis pas égoïste.

“J’essaie d’être moi” : le moi assumé

Vous
faites de votre mieux pour être vous-même. Il vous semble possible –
même souhaitable – de vivre en exprimant votre personnalité tout
entière : vous n’avez pas honte d’assumer vos limites ou de parler de
vos défauts, pas plus que vous n’avez de gêne à reconnaître vos
qualités ou à vous réjouir de vos points forts. Sur le long terme, il
n’y a pas à vos yeux d’autre attitude envisageable pour se sentir bien
dans sa vie.

Cela fait de vous une personne sécurisante et
agréable pour l’entourage : votre comportement rassure ceux qui
doutent, et ne fait pas d’ombre à ceux qui recherchent les premiers
rôles. Avec vous, les choses sont simples et naturelles. Tout est donc
pour le mieux dans le meilleur des mondes… Presque.
Attention, par
exemple, à l’autosatisfaction discrète, qui pourrait vous conduire à
l’immobilisme psychologique. Favorable à votre confort émotionnel,
votre attitude mentale d’autotolérance l’est peut-être moins à votre
développement personnel : l’inconfort et la frustration – s’ils sont
occasionnels – peuvent être de puissants leviers de changement, parfois
nécessaires. S’assumer est une chose, se figer en est une autre.

Assurez-vous
simplement qu’il existe un minimum de surprises, de changements et de
découvertes dans votre existence : être soi-même, c’est aussi accepter
d’être bousculé par le monde qui nous entoure…

le moi assumé

“Je suis moi, et c’est comme ça” : le moi imposé

Vous êtes un peu trop vous-même. Vous avez une conscience claire de vos intérêts et de vos droits, et vous n’hésitez pas à le faire savoir aux autres. On ne vit qu’une fois, pensez-vous, et pour s’épanouir, il faut bien s’affirmer. Alors, si quelqu’un s’oppose à vos projets, vous ne vous laisserez pas faire. Ce que l’on peut penser de vous vous intéresse, mais ne vous obsède pas et, en tout cas, vous ne construisez pas votre vie sur cela.

Vous avez donc une forte personnalité, vous êtes capable d’une véritable originalité. Vous êtes doté(e) de qualités de leadership et de créativité incontestables. On vous estime et on vous admire souvent. Mais parfois aussi vous agacez. Vous ne cherchez pas à être agréable et, pire, il vous arrive de ne pas tenir compte de vos interlocuteurs, préoccupé(e) que vous êtes par la recherche et la défense de vos propres intérêts. On peut vous reprocher votre égoïsme. Les psys parleraient d’un certain narcissisme.

Pourquoi ne pas ajouter une qualité supplémentaire à toutes celles que vous possédez déjà, comme le sens de l’écoute et de l’autre ? Nul doute que cela vous conduirait encore plus loin sur le chemin de votre développement personnel. Et puis, accepter quelques frustrations (ne pas avoir le dernier mot, renoncer à montrer à quelqu’un qu’il a tort, sacrifier un peu de son temps ou de son plaisir pour celui des autres…) peut aussi vous apporter de nouvelles satisfactions, celles de l’altruisme.

“Je suis moi, et c’est comme ça” : le moi imposé

Vous êtes un peu trop vous-même. Vous avez une conscience claire de vos intérêts et de vos droits, et vous n’hésitez pas à le faire savoir aux autres. On ne vit qu’une fois, pensez-vous, et pour s’épanouir, il faut bien s’affirmer. Alors, si quelqu’un s’oppose à vos projets, vous ne vous laisserez pas faire. Ce que l’on peut penser de vous vous intéresse, mais ne vous obsède pas et, en tout cas, vous ne construisez pas votre vie sur cela.

Vous avez donc une forte personnalité, vous êtes capable d’une véritable originalité. Vous êtes doté(e) de qualités de leadership et de créativité incontestables. On vous estime et on vous admire souvent. Mais parfois aussi vous agacez. Vous ne cherchez pas à être agréable et, pire, il vous arrive de ne pas tenir compte de vos interlocuteurs, préoccupé(e) que vous êtes par la recherche et la défense de vos propres intérêts. On peut vous reprocher votre égoïsme. Les psys parleraient d’un certain narcissisme.

Pourquoi ne pas ajouter une qualité supplémentaire à toutes celles que vous possédez déjà, comme le sens de l’écoute et de l’autre ? Nul doute que cela vous conduirait encore plus loin sur le chemin de votre développement personnel. Et puis, accepter quelques frustrations (ne pas avoir le dernier mot, renoncer à montrer à quelqu’un qu’il a tort, sacrifier un peu de son temps ou de son plaisir pour celui des autres…) peut aussi vous apporter de nouvelles satisfactions, celles de l’altruisme.

“Je suis moi, et c’est comme ça” : le moi imposé

Vous êtes un peu trop vous-même. Vous avez une conscience claire de vos intérêts et de vos droits, et vous n’hésitez pas à le faire savoir aux autres. On ne vit qu’une fois, pensez-vous, et pour s’épanouir, il faut bien s’affirmer. Alors, si quelqu’un s’oppose à vos projets, vous ne vous laisserez pas faire. Ce que l’on peut penser de vous vous intéresse, mais ne vous obsède pas et, en tout cas, vous ne construisez pas votre vie sur cela.

Vous avez donc une forte personnalité, vous êtes capable d’une véritable originalité. Vous êtes doté(e) de qualités de leadership et de créativité incontestables. On vous estime et on vous admire souvent. Mais parfois aussi vous agacez. Vous ne cherchez pas à être agréable et, pire, il vous arrive de ne pas tenir compte de vos interlocuteurs, préoccupé(e) que vous êtes par la recherche et la défense de vos propres intérêts. On peut vous reprocher votre égoïsme. Les psys parleraient d’un certain narcissisme.

Pourquoi ne pas ajouter une qualité supplémentaire à toutes celles que vous possédez déjà, comme le sens de l’écoute et de l’autre ? Nul doute que cela vous conduirait encore plus loin sur le chemin de votre développement personnel. Et puis, accepter quelques frustrations (ne pas avoir le dernier mot, renoncer à montrer à quelqu’un qu’il a tort, sacrifier un peu de son temps ou de son plaisir pour celui des autres…) peut aussi vous apporter de nouvelles satisfactions, celles de l’altruisme.

“Je n’ose pas être moi” : le moi réprimé

Vous avez un peu de mal à être vous-même. Vous aimeriez vous construire et vous développer sans faire de l’ombre aux autres, sans conflits ni tensions. Vous voudriez vous affirmer sans prendre de risques. Mais ce n’est guère possible, alors, vous préférez souvent renoncer. Bien sûr, ce n’est pas toujours une décision prise en pleine conscience, mais, en y réfléchissant, en faisant un bilan, vous vous apercevez un jour que vous avez tiré un trait sur beaucoup de vos besoins, de vos aspirations, de vos rêves, de vos désirs…

Tout n’est pas négatif, cependant : votre attitude vous a permis de développer un bon sens de l’écoute et de l’empathie, un véritable respect des autres, un désir sincère de ne pas gêner ou peiner. Cela fait de vous quelqu’un d’agréable à côtoyer et qui s’intègre sans remous dans les groupes.
Mais c’est au prix de nombreux renoncements, et de beaucoup de regrets et de frustrations. Et peut-être aussi au prix d’une image un peu brouillée : certains risquent de vous considérer comme terne ou fade parce que vous ne vous affirmez guère. Et vous-même pouvez vous sentir un peu dévalorisé(e) ou déprimé(e) de temps en temps.

Pourquoi ne pas vous affirmer davantage ? Il est parfois nécessaire de se permettre de peiner, de déranger, de contrarier, si cela vous permet d’exister. Faire comprendre aux autres que, vous aussi, vous avez des idées, des émotions, des besoins. Une tension passagère est parfois le prix à payer pour se faire entendre… Et cela vous sera pardonné beaucoup plus vite que vous ne le pensez.


Je le savais déjà

“Je fais semblant d’être moi” : le moi simulé

Vous n’êtes pas vraiment vous-même. Certes, vu de l’extérieur, tout va bien, car vous êtes habile à donner le change et faire semblant. Ce n’est pas un effort délibéré pour tromper autrui, mais un simple réflexe pour correspondre à l’image que les autres ont de vous. Lors de vos périodes de crise ou de prise de conscience, vous réalisez que les choses sont plus compliquées que votre entourage ne le pense, que même dans vos fantaisies ou vos excès, vous contrôlez toujours plus ou moins votre image et vos apparences.

Cela vous permet de vous adapter facilement à tous les environnements, d’être apprécié, intégré, et performant(e). Vous arrivez souvent à atteindre vos objectifs, et on vous reconnaît volontiers du charme.

Mais au bout d’un moment, vous risquez de ne plus savoir très bien qui vous êtes vraiment et ce à quoi vous aspirez en réalité. Prisonnier(ère) de votre image ? Les psys parlent de « faux-self ». Il y a aussi le risque d’apparaître comme superficiel(le) et lisse, voire insaisissable. Et celui de vous sentir souvent sous pression, voire carrément anxieux(se).

Pourquoi ne pas prendre le risque de déplaire, ou de ne pas être conforme ? Rentrer dans le désir des autres est parfois gratifiant, utile, mais toujours aliénant si l’on n’en sort pas. Faites le tri entre votre personnage construit et votre personne intime. Vous avez le droit d’être de mauvaise humeur, du moment que vous n’agressez pas, le droit de ne pas sourire ou de ne pas être à la mode, ou celui de ne pas être toujours performant(e). En somme, le droit de décevoir parfois les autres.


ok...

"Je fais semblant d’être moi” : le moi simulé

Vous n’êtes pas vraiment vous-même. Certes, vu de l’extérieur, tout va bien, car vous êtes habile à donner le change et faire semblant. Ce n’est pas un effort délibéré pour tromper autrui, mais un simple réflexe pour correspondre à l’image que les autres ont de vous. Lors de vos périodes de crise ou de prise de conscience, vous réalisez que les choses sont plus compliquées que votre entourage ne le pense, que même dans vos fantaisies ou vos excès, vous contrôlez toujours plus ou moins votre image et vos apparences.

Cela vous permet de vous adapter facilement à tous les environnements, d’être apprécié, intégré, et performant(e). Vous arrivez souvent à atteindre vos objectifs, et on vous reconnaît volontiers du charme.

Mais au bout d’un moment, vous risquez de ne plus savoir très bien qui vous êtes vraiment et ce à quoi vous aspirez en réalité. Prisonnier(ère) de votre image ? Les psys parlent de « faux-self ». Il y a aussi le risque d’apparaître comme superficiel(le) et lisse, voire insaisissable. Et celui de vous sentir souvent sous pression, voire carrément anxieux(se).

Pourquoi ne pas prendre le risque de déplaire, ou de ne pas être conforme ? Rentrer dans le désir des autres est parfois gratifiant, utile, mais toujours aliénant si l’on n’en sort pas. Faites le tri entre votre personnage construit et votre personne intime. Vous avez le droit d’être de mauvaise humeur, du moment que vous n’agressez pas, le droit de ne pas sourire ou de ne pas être à la mode, ou celui de ne pas être toujours performant(e). En somme, le droit de décevoir parfois les autres.





Je vais dire qu'on en apprends tout les jours lol même si en relisant je me rends conte que le test n'a pas tout a fait tord :choc:QUi veux m'aider a etre la vrai moi ?? lol

Mdr...