Quel est votre côté obscur ?

Ne seriez-vous pas un peu égoïste ?
« On n’est jamais si bien servi que par soi-même », vous avez fait vôtre cette devise depuis bien longtemps et vous ne comptez pas en changer de sitôt. Persuadé que vous ne pouvez compter que sur vous, vous vous êtes construit un petit cocon douillet pour vous protéger. Reconnaissez-le, les problèmes des autres ne vous intéressent que s’ils vous touchent de près.

Très peu pour vous le rôle de la confidente auprès de laquelle on s’épanche longuement, votre confort émotionnel prime sur le reste, pas question de gaspiller votre temps et votre énergie à jouer Mère Teresa. C’est pourquoi vous faites soigneusement le tri dans votre entourage. Exit les déprimés, les losers ou les hypersensibles… Avez-vous souffert ou avez-vous peur de souffrir ? Là est votre talon d’Achille.

Toujours sur la défensive, vous êtes convaincu que la moindre défaillance se paie très cher et que le malheur est contagieux. Du coup, vous investissez toute votre énergie à défendre bec et ongles votre territoire : vous et votre clan, voilà le seul combat qui vaille. Et après tout, tant pis si le reste du monde va mal, chacun pour soi, c’est votre ligne de conduite.

c'est pas du tout vrai

Ne seriez-vous pas un peu tyrannique?
Bouillonnant, décidé, charismatique, vous avez de l’énergie à revendre. Généreux, vous vous dépensez sans limites et on peut compter sur vous en toutes circonstances. Oui, mais voilà, sous cette (vraie) générosité et sous ce tempérament combatif, se cache une double peur, celle de ne pas être assez aimé et celle d’être exclu.

Votre tactique : vous rendre indispensable. Vous devancez les désirs de ceux qui vous entourent, vous résolvez leurs problèmes, vous les couvrez de petites attentions, bref, vous les maternez pour mieux les contrôler. C’est pourquoi vous n’hésitez pas à pratiquer, en toute bonne foi, l’ingérence dans leur vie, persuadé que vous savez mieux que quiconque ce qui est bon pour ceux que vous aimez. Malheur à celui qui aurait l’audace de prendre des initiatives sans avoir votre feu vert. Il n’est pas facile d’échapper à votre emprise, car les liens de dépendance que vous tissez sont invisibles à l’oeil nu.


Moi tyrannique?


euh....

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?
Au pouvoir brut et aux conflits frontaux vous préférez la séduction feutrée et la dissuasion en douceur. Intuitif, vous savez quel point titiller chez l’autre pour qu’il tombe son armure et se rende inconsciemment à votre point de vue. Là réside tout votre savoir-faire : donner à votre interlocuteur l’impression qu’il est maître à bord, alors que vous n’avez pas une seule seconde lâché le gouvernail !

Empathique, vous savez écouter mieux que personne et vous avez l’art de stocker les petites informations qui feront mouche le moment venu. Posé et nuancé, mais tenace, vous n’opposez jamais un non franc à vos interlocuteurs, vous préférez jouer sur la durée, par petites touches répétées, pour parvenir à votre objectif. Plus que les feux des projecteurs, vous aimez les coulisses, le rôle d’éminence grise vous va comme un gant, il correspond bien à votre définition du pouvoir : une force invisible !

Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais cette obstination « gant de velours » est une façon de ne jamais remettre en question vos croyances et vos certitudes. Qu’avez-vous peur de perdre en vous ouvrant à un point de vue différent ?

*

Je dirais que c'est un peu vrai.. Mais obstinée, non.

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?
Au pouvoir brut et aux conflits frontaux vous préférez la séduction feutrée et la dissuasion en douceur. Intuitif, vous savez quel point titiller chez l’autre pour qu’il tombe son armure et se rende inconsciemment à votre point de vue. Là réside tout votre savoir-faire : donner à votre interlocuteur l’impression qu’il est maître à bord, alors que vous n’avez pas une seule seconde lâché le gouvernail !

Empathique, vous savez écouter mieux que personne et vous avez l’art de stocker les petites informations qui feront mouche le moment venu. Posé et nuancé, mais tenace, vous n’opposez jamais un non franc à vos interlocuteurs, vous préférez jouer sur la durée, par petites touches répétées, pour parvenir à votre objectif. Plus que les feux des projecteurs, vous aimez les coulisses, le rôle d’éminence grise vous va comme un gant, il correspond bien à votre définition du pouvoir : une force invisible !

Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais cette obstination « gant de velours » est une façon de ne jamais remettre en question vos croyances et vos certitudes. Qu’avez-vous peur de perdre en vous ouvrant à un point de vue différent ?


argff...mais c'est pas possible ! Ok, ce résultat reconnait le côté intuitif, le sens de l'écoute, la nuance, la ténacité....mais pas à de bonnes fins : je déteste la manipulation !!

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?
Au pouvoir brut et aux conflits frontaux vous préférez la séduction feutrée et la dissuasion en douceur. Intuitif, vous savez quel point titiller chez l’autre pour qu’il tombe son armure et se rende inconsciemment à votre point de vue. Là réside tout votre savoir-faire : donner à votre interlocuteur l’impression qu’il est maître à bord, alors que vous n’avez pas une seule seconde lâché le gouvernail !

Empathique, vous savez écouter mieux que personne et vous avez l’art de stocker les petites informations qui feront mouche le moment venu. Posé et nuancé, mais tenace, vous n’opposez jamais un non franc à vos interlocuteurs, vous préférez jouer sur la durée, par petites touches répétées, pour parvenir à votre objectif. Plus que les feux des projecteurs, vous aimez les coulisses, le rôle d’éminence grise vous va comme un gant, il correspond bien à votre définition du pouvoir : une force invisible !

Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais cette obstination « gant de velours » est une façon de ne jamais remettre en question vos croyances et vos certitudes. Qu’avez-vous peur de perdre en vous ouvrant à un point de vue différent ?


Ah non pas du tout

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?
Au pouvoir brut et aux conflits frontaux vous préférez la séduction feutrée et la dissuasion en douceur. Intuitif, vous savez quel point titiller chez l’autre pour qu’il tombe son armure et se rende inconsciemment à votre point de vue. Là réside tout votre savoir-faire : donner à votre interlocuteur l’impression qu’il est maître à bord, alors que vous n’avez pas une seule seconde lâché le gouvernail !

Empathique, vous savez écouter mieux que personne et vous avez l’art de stocker les petites informations qui feront mouche le moment venu. Posé et nuancé, mais tenace, vous n’opposez jamais un non franc à vos interlocuteurs, vous préférez jouer sur la durée, par petites touches répétées, pour parvenir à votre objectif. Plus que les feux des projecteurs, vous aimez les coulisses, le rôle d’éminence grise vous va comme un gant, il correspond bien à votre définition du pouvoir : une force invisible !

Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais cette obstination « gant de velours » est une façon de ne jamais remettre en question vos croyances et vos certitudes. Qu’avez-vous peur de perdre en vous ouvrant à un point de vue différent ?



Pffff! n'importe quoi!!!!!

Ne seriez-vous pas un peu sadique ?
C’est sans doute un terme excessif en ce qui vous concerne, mais soyez honnête, ne ressentez-vous pas une légère satisfaction vous envahir quand vous mettez l’autre en difficulté ?

Que ce soit en famille ou au travail. Plus ou moins consciemment, vous appuyez là où ça fait mal, pour le plaisir de prouver votre supériorité. Aux autres, mais surtout à vous-même. Etes-vous resté trop longtemps dans le rôle de victime ? En tout cas, ce qui est certain aujourd’hui, vous ne voulez plus être du côté des perdants. Votre arme secrète : l’ironie.

Vous diminuez les autres, vous les ridiculisez et, s’ils ont le mauvais goût de s’en plaindre, vous tournez en dérision leur absence d’humour. Et vous envisagez les relations comme une guerre, pour vous il doit toujours y avoir un vainqueur et un vaincu. Cette pointe de sadisme s’exerce paradoxalement avec vos proches, vous leur lancez des piques comme s’il vous fallait tester en permanence

Ne seriez-vous pas un peu sadique ?


C’est sans doute un terme excessif en ce qui vous concerne, mais soyez honnête, ne ressentez-vous pas une légère satisfaction vous envahir quand vous mettez l’autre en difficulté ?

Que ce soit en famille ou au travail. Plus ou moins consciemment, vous appuyez là où ça fait mal, pour le plaisir de prouver votre supériorité. Aux autres, mais surtout à vous-même. Etes-vous resté trop longtemps dans le rôle de victime ? En tout cas, ce qui est certain aujourd’hui, vous ne voulez plus être du côté des perdants. Votre arme secrète : l’ironie.

Vous diminuez les autres, vous les ridiculisez et, s’ils ont le mauvais goût de s’en plaindre, vous tournez en dérision leur absence d’humour. Et vous envisagez les relations comme une guerre, pour vous il doit toujours y avoir un vainqueur et un vaincu. Cette pointe de sadisme s’exerce paradoxalement avec vos proches, vous leur lancez des piques comme s’il vous fallait tester en permanence leur seuil de tolérance.




Hi hi hi hi hi.

PS; je suis sadique mais pas méchante, la façon dont c'est expliqué là haut ne correspond pas à mon sadisme !

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?
Au pouvoir brut et aux conflits frontaux vous préférez la séduction feutrée et la dissuasion en douceur. Intuitif, vous savez quel point titiller chez l’autre pour qu’il tombe son armure et se rende inconsciemment à votre point de vue. Là réside tout votre savoir-faire : donner à votre interlocuteur l’impression qu’il est maître à bord, alors que vous n’avez pas une seule seconde lâché le gouvernail !

Empathique, vous savez écouter mieux que personne et vous avez l’art de stocker les petites informations qui feront mouche le moment venu. Posé et nuancé, mais tenace, vous n’opposez jamais un non franc à vos interlocuteurs, vous préférez jouer sur la durée, par petites touches répétées, pour parvenir à votre objectif. Plus que les feux des projecteurs, vous aimez les coulisses, le rôle d’éminence grise vous va comme un gant, il correspond bien à votre définition du pouvoir : une force invisible !

Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais cette obstination « gant de velours » est une façon de ne jamais remettre en question vos croyances et vos certitudes. Qu’avez-vous peur de perdre en vous ouvrant à un point de vue différent ?

Si Femina le dit lol !!!!
( pareil que lolotte t'arrête de copier sur moi lol )

Helena.P a écrit:

( pareil que lolotte t'arrête de copier sur moi lol )

Pfff c'était moi la prum's

Nan d'abord j'ai deux mois de plus que toi donc c'est toi qui est comme moi !!

Helena.P a écrit:

Nan d'abord j'ai deux mois de plus que toi donc c'est toi qui est comme moi !!

je n'ai qu'un seul mot à te dire : grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr


Bon sinon, et vous, vous etes quoi?

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?

Coob, coob, coob...

"qu'avez vous peur de perdre...".......ça m'poursuit ça..

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?
Au pouvoir brut et aux conflits frontaux vous préférez la séduction feutrée et la dissuasion en douceur. Intuitif, vous savez quel point titiller chez l’autre pour qu’il tombe son armure et se rende inconsciemment à votre point de vue. Là réside tout votre savoir-faire : donner à votre interlocuteur l’impression qu’il est maître à bord, alors que vous n’avez pas une seule seconde lâché le gouvernail !

Empathique, vous savez écouter mieux que personne et vous avez l’art de stocker les petites informations qui feront mouche le moment venu. Posé et nuancé, mais tenace, vous n’opposez jamais un non franc à vos interlocuteurs, vous préférez jouer sur la durée, par petites touches répétées, pour parvenir à votre objectif. Plus que les feux des projecteurs, vous aimez les coulisses, le rôle d’éminence grise vous va comme un gant, il correspond bien à votre définition du pouvoir : une force invisible !

Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais cette obstination « gant de velours » est une façon de ne jamais remettre en question vos croyances et vos certitudes. Qu’avez-vous peur de perdre en vous ouvrant à un point de vue différent ?

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?
Au pouvoir brut et aux conflits frontaux vous préférez la séduction feutrée et la dissuasion en douceur. Intuitif, vous savez quel point titiller chez l’autre pour qu’il tombe son armure et se rende inconsciemment à votre point de vue. Là réside tout votre savoir-faire : donner à votre interlocuteur l’impression qu’il est maître à bord, alors que vous n’avez pas une seule seconde lâché le gouvernail !

Empathique, vous savez écouter mieux que personne et vous avez l’art de stocker les petites informations qui feront mouche le moment venu. Posé et nuancé, mais tenace, vous n’opposez jamais un non franc à vos interlocuteurs, vous préférez jouer sur la durée, par petites touches répétées, pour parvenir à votre objectif. Plus que les feux des projecteurs, vous aimez les coulisses, le rôle d’éminence grise vous va comme un gant, il correspond bien à votre définition du pouvoir : une force invisible !

Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais cette obstination « gant de velours » est une façon de ne jamais remettre en question vos croyances et vos certitudes. Qu’avez-vous peur de perdre en vous ouvrant à un point de vue différent ?

Ne seriez-vous pas un peu tyrannique?
Bouillonnant, décidé, charismatique, vous avez de l’énergie à revendre. Généreux, vous vous dépensez sans limites et on peut compter sur vous en toutes circonstances. Oui, mais voilà, sous cette (vraie) générosité et sous ce tempérament combatif, se cache une double peur, celle de ne pas être assez aimé et celle d’être exclu.

Votre tactique : vous rendre indispensable. Vous devancez les désirs de ceux qui vous entourent, vous résolvez leurs problèmes, vous les couvrez de petites attentions, bref, vous les maternez pour mieux les contrôler. C’est pourquoi vous n’hésitez pas à pratiquer, en toute bonne foi, l’ingérence dans leur vie, persuadé que vous savez mieux que quiconque ce qui est bon pour ceux que vous aimez. Malheur à celui qui aurait l’audace de prendre des initiatives sans avoir votre feu vert. Il n’est pas facile d’échapper à votre emprise, car les liens de dépendance que vous tissez sont invisibles à l’oeil nu.

oki pour le début ms pas le côté " je gère la vie des autres"

Ne seriez-vous pas un peu tyrannique?
Bouillonnant, décidé, charismatique, vous avez de l’énergie à revendre. Généreux, vous vous dépensez sans limites et on peut compter sur vous en toutes circonstances. Oui, mais voilà, sous cette (vraie) générosité et sous ce tempérament combatif, se cache une double peur, celle de ne pas être assez aimé et celle d’être exclu.

Votre tactique : vous rendre indispensable. Vous devancez les désirs de ceux qui vous entourent, vous résolvez leurs problèmes, vous les couvrez de petites attentions, bref, vous les maternez pour mieux les contrôler. C’est pourquoi vous n’hésitez pas à pratiquer, en toute bonne foi, l’ingérence dans leur vie, persuadé que vous savez mieux que quiconque ce qui est bon pour ceux que vous aimez. Malheur à celui qui aurait l’audace de prendre des initiatives sans avoir votre feu vert. Il n’est pas facile d’échapper à votre emprise, car les liens de dépendance que vous tissez sont invisibles à l’oeil nu.

ah bon...

Ben ils sont ou les uatres sadiques ??

Fish, Ed ???

Ne seriez-vous pas un peu sadique ?
C’est sans doute un terme excessif en ce qui vous concerne, mais soyez honnête, ne ressentez-vous pas une légère satisfaction vous envahir quand vous mettez l’autre en difficulté ?

Que ce soit en famille ou au travail. Plus ou moins consciemment, vous appuyez là où ça fait mal, pour le plaisir de prouver votre supériorité. Aux autres, mais surtout à vous-même. Etes-vous resté trop longtemps dans le rôle de victime ? En tout cas, ce qui est certain aujourd’hui, vous ne voulez plus être du côté des perdants. Votre arme secrète : l’ironie.

Vous diminuez les autres, vous les ridiculisez et, s’ils ont le mauvais goût de s’en plaindre, vous tournez en dérision leur absence d’humour. Et vous envisagez les relations comme une guerre, pour vous il doit toujours y avoir un vainqueur et un vaincu. Cette pointe de sadisme s’exerce paradoxalement avec vos proches, vous leur lancez des piques comme s’il vous fallait tester en permanence leur seuil de tolérance.

PAR FLAVIA MAZELIN-SALVI.



heu y a du vrai et du pas vrai

Ne seriez-vous pas un peu manipulateur ?

grrrrrrrr ça ma énervé ce test pffff, première partie totalement fausse, deuxième ben assez réaliste (je n'en suis pas fière) et conclusion énervante.