PBLV – Episode 956

Je viens d'écrire ce petit texte à la demande générale de... ma jumelle...
PBLV – Episode 956
Scène Manquante…

Cette scène vient en continuité de la scène https://www.youtube.com/watch?v=N6OWeAcCNts

D'abord timide, puis gagnée par la fièvre de sentir la bouche de Virginie contre la sienne, son corps au plus prés du sien, Céline embrasse Virginie avec fougue. Leurs langues se mêlent, leur lèvres se prennent, avides et enivrées.
La fièvre a eu le dessus sur les réticences de Virginie qui enfin se laisse aller sans trop se soucier des lendemains qui chantent parfois tout autant qu'ils déchantent. Les mains de Virginie se pressent sur le corps de Céline, massent son dos, puis sa nuque, ses cotes, ses hanches, pour se refermer sur son bassin qu'elle soude au sien. Céline aime ce contact, cette fougue, elle qui s'imaginait que les étreintes entre femmes étaient aériennes et sans consistance, comme les hommes se plaisent à le faire croire depuis la nuit des temps qu'ils narrent des amours saphiques.
Virginie a poussé Céline, renversant au passage une sellette et son vide-poche, pour la bloquer contre le mur et soulevant son petit pull d'une main, elle laisse glisser l'autre le long du corps de Céline, haletante et offerte, qui se défait de ce pull si embarrassant. L'entrepreneuse se fait moins entreprenante et laisse à la chef de chantier le soin de contrôler les opérations, s'en remettant à son expérience du terrain...
Des milliers de papillons lui dévorent les entrailles et es idées de Céline ne sont plus bien claires, elle est nappée dans une délicieuse brume quand elle sent la bouche de Virginie happer un sein qu'elle avait pris soin de libérer de la dentelle qui l'entravait. Céline gémit longuement alors que Virginie s'affaire autour de ses seins de la bouche et des mains, la terre se dérobe sous ses pieds, heureusement que le mur est là pour s'y agripper... Une main glisse alors dans le dos de Céline puis s'empare de ses fesses qu'elle masse avidement. Céline ne saurait plus dire qui de la bouche ni des mains lui procure du plaisir, il lui semblerait même que telle une déesse hindoue, les membres de Virginie se soient démultipliés pour parvenir à ce point à exciter ses zones érogènes.
Céline soupire, Céline gémit et Virginie se délecte de cette douce mélopée, associée à l'odeur et à la douceur de cette peau tant convoitée. Leurs lèvres se soudent encore et se séparent, se cherchent, se retrouvent. Virginie s’affaire à ouvrir le pantalon de Céline alors qu’un bras de fer sans vaincu s’est instauré entre leur deux langues qui se découvrent, s’apprennent et se complaisent déjà. Elles sont hors d’haleine quand Virginie se détache de Céline, le fixant droit dans les yeux au moment où elle glisse la main dans son pantalon directement sous les dentelles… Céline pousse un petit cri rauque quand elle prend possession de son intimité qu’elle se met à masser avec douceur pour le plus grand plaisir de Céline dont le regard s’embrume. La main de Virginie se fait plus présente plus insistante alors que son corps se soude au sien, suivant les ondulations primales de Céline qui gémit de plus en plus distinctement, laissant des « oui » envahir l’entrée.
Le corps de Virginie se presse contre celui de Céline dont elle sent le plaisir proche, sa main ne laisse aucun échappatoire à Céline, elle boque toute issue… Céline va jouir, c’est inéluctable mais Virginie prolonge l’instant, lui murmure qu’elle est belle, qu’elle lui plait, puis l’invite, l’exhorte à jouir enfin. Il ne faut pas longtemps à l’entrepreneuse pour se soumettre à sa subalterne dans un long gémissement rauque presqu’animal…
Virginie reste soudée à son corps, la main toujours plaquée contre son sexe pour voler à Céline un long et avide baiser.
Céline revient peu à peu des nuages cotonneux avec lesquelles elle vient de flirter, bien décidée à faire montre d’autant d’attentions à l’égard de Virginie que cette dernière en a eu pour elle. Alors elle la repousse doucement pour l’entrainer à sa suite dans sa chambre, la poussant sur le lit, où elle tombe avec elle, décidée à gouter sa peau des mains et de la bouche. Virginie se déshabille avec frénésie tirant sur les plus récalcitrants avec rage faisant voler un tee-shirt, un jean, une culotte… De son coté, Céline en a fait autant et c’est alors que leurs peaux se découvrent enfin. Céline couchée contre Virginie, mêle son corps au sien et découvre des yeux et des mains ce corps étranger. Comme en terres inconnues, elle se sent maladroite dans ses explorations mais si motivée par la recherche du joyau qu’elle en oublie toutes réserves, comme le plus intrépide des Indiana Jones à qui l’on aurait promis le saint-Graal…
Virginie s’agite, ondulant un corps qui se languit de connaitre enfin le plaisir avec Céline, ses mains et sa bouche sont autant un délice qu’un supplice car ils avivent un désir presque douloureux à lui tordre les viscères.
- Viens…
A cette supplique, Céline est fortement sensible, elle y souscrit et glisse enfin sa main au creux de la fourche des cuisses que Virginie lui offre sans retenue, lui administrant même les encouragements du jury…
- Oui… viens… je te veux…
Céline se sent en panique, elle a peur de mal faire de s’y prendre mal, que le plaisir de Virginie lui échappe comme un canari sorti de sa cage… Elle hésite, mais ne tergiverse pas longtemps car Virginie pose sa main sur la sienne et la dirige, lui donne le rythme, le tempo…
- Oui… comme ça… continue…
Une fois n’est pas coutume, Céline Frémont laisse sa chef de chantier prendre les choses en main et à en juger par ses gémissements, elle s’y prend plutôt bien.
Peu à peu la pression de la main de Virginie sur celle de Céline se relâche, lui laissant le soin de diriger seule les opérations. Et Céline découvre avec bonheur que même sans son aide elle s’en sort plutôt bien, les ondulations de Virginie redoublent d’intensité, ses gémissements aussi et puis dans un dernier effort conjoint le corps de Virginie se soulève, secoué de spasmes pour la plus grande stupéfaction et le plus grand ravissement de Céline. Cette dernière épuisée s’écroule à coté de son amante qu’elle regarde avec tendresse peu à peu reprendre son souffle.

Vient ensuite la scène https://www.youtube.com/watch?v=KvuBf8D7C0s

Bon c'était une 1ere fois hein...

Moi je suis fan !

et beh, si les producteurs de PBLV savaient les débordements erotico-littéraires que leur (soupe)(je ne sais pas comment on barre un mot) pardon leur soap provoque, ils iraient militer pour avoir plus de moyens

bioskopb a écrit:

et beh, si les producteurs de PBLV savaient les débordements erotico-littéraires que leur (soupe)(je ne sais pas comment on barre un mot) pardon leur soap provoque, ils iraient militer pour avoir plus de moyens

Pour barré un mot ou une phrase clic sur le mot barré sur la même ligne que gras ital. soulig.

Je sais, cette explication sert à rien.


En tout cas l'épisode 956 est carrement mieux vu par Véro!

ah bah j'ai pas barré moi

bioskopb a écrit:

ah bah j'ai pas barré moi

Tu serais pas sur MAC ?

j'ai enfin trouvé le seul avantage d'avoir un PC

miss-kit a écrit:

bioskopb a écrit:

ah bah j'ai pas barré moi

Tu serais pas sur MAC ?

je peux savoir pourquoi sur Mac on peut pas barrer??? discrimination des minorités!!!!

mdrr bein on ne sait pas
pis t'as K avoir un PC

non mais ça va pas la tête

fiou.......

Dites, je dis ça je dis rien mais moi je suis sur PC là au boulot et j'ai pas le "barré" non plus

(chuis avec toi Bio, Mac c'est le bien lol - et pour barrer un mot faut mettre des balises "strike", ce qui donne donc par exemple : PC )

hihihi, Vive la Belgique
j'essaie et... ça marche!!!

belgium two pointss

miss-kit a écrit:

En tout cas l'épisode 956 est carrement mieux vu par Véro!

Ah ben ça je suis tout à fait d'accord!

Bon, à mon tour de sacrifier à l'exercice de la fanfic.
Depuis, l'intrigue a bien avancé, mais j'ai pas pu m'empêcher.
Soyez indugentes, je me sens très rouillée de la plume (du clavier) !





«Laisse-nous une chance, tu n’es pas la seule à prendre un risque…»

La phrase de Céline frappa Virginie en plein cœur.
Est-ce que ça voulait dire qu’elle avait une chance de voir ses sentiments partagés ? Céline avait dit qu’elle ne pouvait pas dire qu’elle était amoureuse d’elle, qu’elle ne savait pas… Virginie pouvait-elle se jeter à l’eau à cause du désir qu’elle lisait dans son regard ?

Elle avança d’un pas et sourit avec douceur avant d’approcher son visage de celui de Céline pour poser ses lèvres contre les siennes. Elle la sentit tressaillir tandis qu’elle se laissait envahir par le parfum complexe de sa peau et le goût de sa bouche qui s’ouvrait devant la caresse de sa langue.
Céline s’accrocha à ses épaules en titubant, comme enivrée et Virginie la cueillit dans ses bras avec ravissement, bouleversée de serrer contre elle ce corps qui l’obsédait depuis si longtemps.

- Céline… qu’est-ce qu’on est en train de faire ?» articula-t-elle à bout de souffle contre son oreille en sentant son cœur cogner dans sa poitrine.
- Je ne sais pas...» murmura la jeune femme dans son cou en passant ses mains sous les pans de sa veste en cuir pour les glisser autour de sa taille «… mais j’en ai terriblement envie !»

Virginie sentit sa gorge se nouer en entendant sa voix déformée par le désir. Les mains de Céline progressaient sous son tee-shirt, effleurant la peau de son dos du bout des doigts en la faisant délicieusement frissonner.

Virginie rejeta la tête en arrière pour tenter de capter son regard.
Elle avait le visage empourpré et les lèvres tremblantes et Virginie se dit à ce moment-là qu’elle n’avait jamais été aussi belle ! Aussi désirable et aussi offerte… Céline soutint son regard quelques secondes avant de baisser la tête en rougissant davantage. Elle l’entendit souffler d’une voix à peine audible :

- J’ai envie de toi, Virginie... montre-moi comment faire !

Le cœur de Virginie sembla manquer un battement.

- Viens… articula-t-elle en lui prenant la main.

Elle n’avait jamais vu la chambre de Céline, aux murs taupe et aux meubles laqués. Tout était d’un goût assuré, mais elle ne perdit guère de temps en contemplation : Céline venait de faire glisser de ses épaules sa veste en cuir qu’elle laissa tomber sur le couvre-lit anthracite.

Virginie se mordit les lèvres en la déshabillant. Elle aurait voulu que ses gestes soient assurés, mais ses mains étaient fébriles et peinaient sur les boutons de son pantalon. Elles tombèrent pêle-mêle sur le lit et Céline gémit doucement quand elle sentit les mains de Virginie sur ses seins. Les pointes ses dressaient entre ses doigts et Virginie les embrassa à travers la dentelle de son soutien-gorge gris perle. D’un geste rapide, elle le dégrafa et il s’envola à travers la pièce, aussitôt remplacé par sa bouche brûlante.
Le corps de Céline s’arc-bouta contre sa caresse. Elle n’avait jamais rien senti d’aussi doux et d’aussi impérieux à la fois. Le corps de Virginie contre elle était chaud, souple et voluptueux. C'était enivrant comme d'enfoncer son visage dans de la soie. Elle sentait la douceur de ses seins ronds pressés contre elle et mourrait d’envie de les caresser à son tour, mais toute volonté l’abandonna avec la sensation de la bouche de Virginie progressant inexorablement de sa poitrine vers son ventre. Elle aurait aimé pouvoir continuer de la serrer contre elle et ressentit comme un vide en la sentant glisser plus bas contre son corps.
Elle savait très bien ce qui allait se passer et elle eut l’impression que son cœur allait s’échapper de sa poitrine.
Les caresses et la bouche de Virginie s'attardèrent sur l'arrondi de ses cuisses avant de les écarter lentement. Céline se redressa légèrement à la recherche de son regard. Il était attentif, à l’écoute de son souffle précipité et des tressaillements de ses muscles. Elle lut dans ses yeux noisette un tel désir et une telle assurance dans le sourire qui étirait ses lèvres pleines qu’elle sentit la tête lui tourner.
Son souffle brûlant précéda sa caresse humide et Céline retomba en arrière sur le matelas, emportée par un tourbillon de sensations. Elle plongea ses mains dans la cascade de cheveux bruns de Virginie, une plainte sourde au bord des lèvres.
La patience, la délicatesse et l’application de la jeune femme n’avaient rien à voir avec la rudesse pressée de ses amants passés. Les mains de Virginie s’aventuraient sur son ventre et ses seins, précises, joueuses, expertes, la mettant à la torture, avant de s’insinuer en elle, venant doubler la caresse de sa langue en éveillant adroitement des nerfs qu’elle n’avait jamais soupçonnés.
La jouissance la prit avec une force à laquelle elle ne s'était pas attendue, et le cri rauque qu’elle poussa laissa Virginie étourdie entre ses cuisses tremblantes.
Elle quitta leur étau soyeux à contrecoeur pour venir se coucher contre elle. La poitrine de Céline se soulevait au rythme de sa respiration irrégulière et elle nicha son visage contre son épaule et resta un long moment sans bouger et sans rien dire.
Virginie glissa ses doigts dans ses cheveux emmêles et plaqués par la fine couche de sueur qui perlait à son front délicat.
Elle sentait son coeur déborder de gratitude.
Même si ce qu'elle venait de partager avec cette femme qui l'obsédait depuis des mois devait se résumer à ces instants de volupté, personne, jamais, ne pourrait effacer le souvenir des cris de plaisir dont elle avait éclaboussé la chambre baignée de soleil.
Le souvenir de ses mains dans ses cheveux et de la force avec laquelle elle avait attiré son visage entre ses jambes.
Le souvenir de sa voix éraillée appelant son nom...

Céline, enfin, releva la tête pour planter ses yeux dans les siens. Elle soutint son regard un instant avant de cacher son sourire contre son épaule et de chuchoter :

- « J'ai encore envie de toi... ».

Un petit rire rauque monta dans la gorge de Virginie. Cette femme merveilleuse était décidément déconcertante.


Et elle se dit qu'elle pourrait s'habituer à être ainsi prise au dépourvu de ces grands yeux clairs.

oh..mon..dieu..

gagné..main'nant j'ai envie..

So good!